DEUX VRAIS PEINTRES D’AUJOURD’HUI Installée depuis trois ans deur., bar qu’aryle » de Paris mi 1011. ICS tendant’, esthétiques 5.4/I.Ilenl t, le plus souvent, se heurtera, la Galerie Romain’, fait de tir-Io-none sa règle de conduite. Indifférente aux théories passagères, elle ?1/.,,, a cration des amateurs des ‘,ivres créées par des artistes de tempéraments très varies. Après avoir groupé les tr tableaux des Peines de la Réalité poélique, elle a lait toompb, les ‘,herches de carq grands plasticiens de notre époque, trois peintes, u,. sodpuner, un tapissier, attachés à l’Enchaternou du Réel. Recerrnou, sur lacise de cette gale, jeunet Fenhe!, prix des Ammaiateurs d’Art a Collectionneras 1953. avec cinquan, et une toiles et vara, gouaches, a remporté un sucrés sans précédent. Cela sans nul don, parce que dans des ceuvres à la fois audacieuses ntris consureires il a su réconcilier ces deux forma d’art jugées trop longtemps inconciliables t l’Abstrait et k Figuratif. I,s visiteurs qui ont wr, en passant, son ,r Saint-Trope. la mar r, son Sarré-Catur r, son Rouge. conçus dans gine pria si riche, ire les oublia,, pas. Ceux qui lis possédera ressentent chaque jour davantage la joie que ces rableaux si viare, répandent dans un intérieur. Un tel peintre, né dans cette Ruche de Vaugirard où travaillèrent Modigliani, Soutine, Chagall et Kikaine, son père, édifie comme eux ses toiles dans la couleur. On dirai’ que ses calbédrales, ses tournesols, ses fleurs des champs vont éclater. Cette exubérance de palette ne prive pourtant pas Farikel d’un sens certain de la ‘,icor,. Ses gouaches ires nuancées communiquent leur sérénité a l’esprit du specular,. Regarde. s, paysages les plus fougueux. D’abord, ils vous surprenant; rapidement vous vous apercevc qu’en transposant les choses selon son esti. Tankel e perd jamais ce soun d’ordonnance qui s’imposa jadis à son maires de prédil,tion, Paul Cézanne. -YANKEL, ANCHE, toile de 22 x 27, 1956. SI R I, I.0 ∎•1 Pi Tout comme Tarekel, Georges Sinicki, le nouveau poulain rr de la galerie, travaille dans une matière sourira…se. Toutefois, tandis que le premier éprouve p( ,111.1 eux b’soir, de couvre d’importantes surfaces, le second s’exprime d’autant mieux qu’il emploie de petits formats. Sescompositions aueignent rarement des dimensions su périe à nx 24 11,1111itie, Il peut mime lui arriver de se laisser tenter par rat chàssis de 14×18 centimètres! Comme celles de Pougny, disparu l’an demie, cul pleine gloire, les torles de Smith i, souvent minuscules, ont une valeur esthétique inversement proportionnelle à leur étendue. On dirai, que, magicien cherche à enfermer l’univers dam Un dé à coudre dont la transparence nous permettrait. en Un seul ,gard, d’en apercevoir toute la beau,. C’est uc ioninaste » qui distribue doucement la ‘,unie, sur !es choses. Min. ,e5 intérieurs on voit une femme se reposant prés de plusieu, natures mortes. Chaque objet prend ici la place qui lui ,vienr une asse, rot ompotier, une bouilloire, une chaise ‘nette », dans Fane, autant de notes colorée., qu’il convient sans nuire à l’éclat de ravissants bouquets. L’artisre, hostile aux rerb,ches purement décoratives, n’épargne ni son temps ni son matchiau. Il passe plus d’heuresà hgnol, ces joyaux que d’autres d bâcler, à grands coups de brosse, d’Immenses panneaux demeurés à l’état d’esquisses. Sa palette aux couleurs chaudes est «Ils d’un eneen-taliste rapprochant avec bonheur les touches de gammes parfois di &rentes. Ainsi son men, s’appa,nte-Fil a Mii du nuisirent. Bach, Morart, Chopin l’enchanter, Saticki affirme modestement que s’il ne les écoutait pas quand il travaille il ne ferait peur-ère rien de bon. GALERIE ROMANET d .1 P I, d’ 13 E I, L E C .1 1. I? I 1′, D E PARIS ›, 18, A1 M II,NON l• ,M-11