1, ‘ 1 N I) I » 1NNOMB Il A 13 1, I peut ras enner en voiture vers Karijis arra, ,• lui A Ille dm., 4, avec ses .•miels temples cen, Shi,a o. à Vishno, ■•■•rs Pondiellem. petite. eite à laquelle nom rait:nit. le ant sium eiiir de .1 72 kilnineuires de 11.1.3. les tunl.1.–, de Kuonivarani sont p;inui los plus imposants. latrie nlinenerain idire ses blinis muta… évidés et sculptes uull bien. de temples. ses bas–chefs inassifs, éléphants, tautueuau. Inins. Sur la route aél.11.1111V ,chant l’Inde à Ces lait. uno pro -litière érapesons Sl.11,111i2S1e111 OU Se touer le plus grand buil., vislmouiste d l’Inde il possède une salle eus ouille colonnes inemolit hes. Srirangam n’est qu’à 3 13ilinnetres de Tiruchi-rapalli, autrefois Trichinopoli, réputé par son temple perché au sommet d’un rocher. Faisant partie de cette guirlande de sanctuaires. nieiulieennons encore ceux de Tanjore, de consacré au dieu de la Danse, de 1Iadoorai, la ê Cité des Tètes », et de Itames11011,1111, sil liO dam une petite île du détroit de Pall3elle, pull-être le plus beau Hlète d’architecture du Sud. I autre itinéraire sous conduira dans l’État de 113sore. Réunissait tous les charmes des tropiques suas un climat doux et salubre en raison d’une nithtale de 600 à 900 mètres, ce pays offre à la lois la forêt vierge, des paysages souriants, des Mlles élégantes, dos cascades magnifiques et, un peuple charmant. Bangalore et Mysore, la ville-iu dia, sont pour le voyageur des escales encham 1…uses. C’est un aspect de l’Inde des Mille et une nits. Et les temples de Sonmathpour, de Belour, in I Iuletiil sont considérés comme des chefs-d’muvre de l’art Hindou. PERS HENARES SAINTE. Abandonnant le Sud pour le Nord, FI lincilm et la vaste plaine indo-gangétique, à 13houvane8hvar, vieille cité, fameuse dei.. plusieurs milliers d’années, aujourd’hui capitale di’ la province de l’f)rissa, à mi-chemin entre )luiras et Calcutta. Parmi la centaine de temples encore debout sur les 7.000 que lui prête la tradition, mentionnons les sanctuaires de Lingaraja, de 13ajarani, de Muleteshvar et de Bhanieslivar. Couttak, Konarak, Pouri sont d’autres noms célèbres dans le voisinage. flalcutto vous happera dam sa structure détail/lame. Plus au Nord, Darjiling, station himalayenne, est dominée fuir le splendide massif dut 1Valichinjunge 8.621u mètres . Il faut monter sur le piton qui surplombe lui ville pour échapper OUX innombrables Ill- électrique, qui découpent le ciel à la maniere’ d’un tissu ,_ut.. VOUS êtes lit en bordure du Sileleint. heureux petit royaume himalayen à tradition iilietaine. sur lequel règne un prince philosophe srisie. Uu Roilir à la Birmanie s’étale la vaste plaine ‘est Cionouie une civilisation dont Bénarès la Sainte ist linsymbole. Bénarès ne semble pas obi beancoup changé depuis des millénaires. Sur la courbe, majestueuse du Gange, palais, temples et escaliers de pierre pour géants s’étagent dans un cadre d’une sérénité inaltérable. ‘riait, l’Inde et toute la vie défilent devant vous par centaines de milliers, hommes, femmes, enfants, vieillards, riches ou pauvres, côte à côte, prennent leur bain rituel, saluant Sourya, le soleil matinal. lia non loin d’eux, ceux qui ont achevé leur voyage terrestre, attendent dans des linceuls de diverses menteurs le dernier rite de la crémation tandis que les bûchers funéraires flambent sur les terrasses… A 7 kilomètres de Bénarès se trouvent Sarnath et son parc aux cerfs, où le Bouddha donna sa première prédication. En dehors des temples et vestiges bouddhistes, le musée de sculpture mérite une visite spéciale, on y admire quelques-uns des plus beaux spécimens de la statuaire bouddhique le fameux chapiteau de la colonne d’Asoka, la roue de la loi surmontée des quatre lions, et un magni-fique Bouddha assis, exposant la Doctrine du Dans cet étonnant creuset subtropical, toutes les influences, tous les courants étrangers sont assimilés, fondus et ne sont plus qu’un instant de l’indignité. Aussi, les grands empereurs mogols, séduits par leur conquête, lui donnèrent-ils certains de ses plus beaux monuments. Poème d’amour cristallisé dans la pierre, le Taj Mahal à Agra, sur les bords de la Jerierna, est l’une des merveilles du monde. C’est le mausolée édifié entre 1630 et 1648 par l’empereur Shah Jahan une épouse qu’il idolâtrait. Les plus purs matériaux, les plus chastes lignes devaient conter la grâce, la douceur, la perfection d’un amour éternel, et c’est ainsi que la matière s’est faite esprit. Delhi et sa plaine retracent l’histoire des dynasties musulmanes qui succédèrent aux rois hindous. Ces Delhis du passé entourent la Nouvelle-Delhi de ruines majestueuses et solitaires i1nang Pal, Koutoub-oud-dia, Toughlakabad, Firoxabad, Shah-JahanItael… LA VALLÉE HEUREUSE. De Delhi, vous ire. en deux coups d’aile au Cachemire, vrai paradis terrestre, vous arrêtant d’abord à Amritsar, la capitale religieuse des Sikhs. Ceux-ci, pour se diOinguer des musulmans, ne se coupent ni les cheveux ni la barbe et portent tin anneau de fer au bras. Leur temple d’Or est un bijou reflété dans un petit lac appelé 4 lac de l’Immortalité 4. Blotti dans les replis nord-ouest de l’Himalaya, le Cachemire et sa ê Vallée heureuse 4 constituent puys de rêve. Nulle part la nature n’a rassemblé sur un espace aussi restreint de plus brillants pontrastes, et les êtres humaine participent sponta-nément à l’enchantement naturel. Riants paysages, plaines couvertes d’arbres fruitiers, dormants vallons parcourus par de multiples torrents qui s’épanchent paisiblement, lacs limpides et bleus, véritablesmiroirs renvoyant au ciel une partie de la hunier, fluidité de l’air ailleurs inégalée, silhouette élancée de peupliers argentés, villages paisibles au pied ele montagnes à la cime de neige, Hemel majestueux à l’eau d’émeraude concourent à vous Troue la t i• le Cille vallée heureuse se passe au fil di, l’i•iite t n u t set lacs sont reliés entre eux par