Ci-dessus : scene familière à Jalpour au Bajastban des femmes vêtues de couleurs somptueuses préparent leur fruaal repas. droite : sur les bords du Game c.( sacré » à Bénarès, le bain rituel au soleil levant. Des milliers de pélerins venus de toute l’Inde se côtoient dans la meure lerveur Pa. (I(• par de vastes escaliers de pierre In, ut 1111 1111,111raière de nombreux fidèles s font leurs aide t nos rituelles ou y lavent leur linge. Le tcinpl. cid humanisé, il participe à la vie quedidierme • BOITs les longues colonnades des bas cèles. (les tisserands tendent leur chaîne et l’enroule rd soigneusement.; au pied d’une ((donne d’or. sll jeune homme fait des eue:, de .eca un groupe écoute la lecture di I. st■— qu’une lemme tresse de, endond, s de jasmin. Près d’un saisi an dansent le. (lamines de mille pe/ites hem. Mille. brahmane scande des ver.,..an.crits des prdeiJ ais font résonner les cloches d mi septuple metal TOUTES LES TERRES RÉUNIES. Madras sera le point de départ (le noire pèlerin méridional. C’est la troisième ale de l’Inde par sa population elle s’étend sur (cive tilonli(tr(c. en bordure (le la nom. vers . dyar. I.ii se I Oeil, don» l’un des phis lm, pare. qui scient. le siège immdiel de la SocietC Théosophique. Ln baniuu peut abriter sous ses 0011(r:egt (tin’ personne*. Des allées bordées d’l:lires à fleurs, plantes dans de la terre provenant de tous les pa■-, de noire planem, conduisent fi de petits samt mitres de toutes lès religions, concrétisant ainsi l’iden1 de Fraternité imiverselle des l’héosoplies. I (ii leualum de la rivière Adyar et ii quelques pi, (finue riA itsunte palmeraie se trouve une ante, richesse de (o• haut lieu : sa bibliothèque de inuiniscrils Plus de trente mille manuscrit, .(mt rè-or ■ entre autres les Chroniques anciennes de l’humanité selon lesquelles l’histoire des hommes remanier:dl a 12 millions d’années… 28