façades peintes maisons gaies —— et Sur la prise de moche à Londres…se Uu quar lier des et Sliews a, anciennes aruries devenue ru’renneSuFecru2rIn:.=Ce:es’Ir offrant de nouvalles combinaisons de coulel’errls=e0MCu5,01=-7rei Les mémos Allom.grapt,s G. Aubin. MOUS ne sommes pas dans un pays méditerranéen Mondé de soleil, mais au coeur de Londres, la cité des brouillards. Les « mews », anciennes écuries des hôtels aristocratiques de Belgrave Square, sont, depuis la guerre, devenues résidences, recherchées par les Londoniens les plus élégants. De ces maisons en miniature comprenant de trois à cinq pièces, la « gentry » a fait des bonbonnières meublées avec le plus grand raffinement, selon la tendance qui nous porte à réhabiliter les communs. Tout un quartier de petites rues autrefois hantées par les « lads » est à présent le rendez-vous à la mode. Chacun a voulu donner à sa maison une personnalité. Autant de façades, autant de couleurs qui vont par deux ou par trois. Toutes sont repeintes au moins une fois par an, à l’huile, comme des bateaux, si bien que malgré fumées et brouillards le quartier reste toujours pimpant. Pas plus de quatre mètres de haut, n’est-ce pas un décor de théâtre ? Non, les cuivres astiqués, les vieux tonneaux devenus boites à ordures, la bouteille de lait attestent une présence, celle de propriétaires ravis d’échapper aux impôts trop lourds de leurs anciennes demeures et de pallier le manque de domestiques en réduisant à l’essentiel leur volume de vie. M. P.