que votre présence ne me fait plaisir. Ne pouvant m’atteindre, on me bat sur votre derrière. Bertrand, le plus visé, s’efforce de garder sa sérénité, continue à recueillir imperturbablement les moindres propos de son chef, celui-ci entre autres : au moment où les commissaires des puissances européennes prétendent étre reçus par Napoléon, ils se heurtent à un refus : a Je ne suis, de droit, le prisonnier ni d’eux ni des Anglais. Si ce n’est pas assez pour eux de leur conduite à mon égard et qu’ils veuillent m’insulter jusqu’ici, ils ont la force entre les mains, mais ils ne pénétreront chez moi qu’en enfonçant à la hache trois portes et me trouveront sur ma chaise percée. n Une dernière visite au tombeau de Napoléon, édifié près dune tlu sous les saules00,11$$ no ad Î e,esaan Mesose restaexamement dix-neuf ans et cinq. m’ois. Tous les fidèles sont groupie autour de S. A. R. le prince de Joinville qui sst rendu Sainte-Hélène pour exhumer le corps impérial et leramener en France. Sur cette image d’Epinal, Bertrand en larmes se tient au chevet du cercueil, la main appliquée sur son front., Photographies André Chadelaux.