5 I. Anne Boleyn. par Bonifaxio Véronèse. Cette tendre et mêlan-Clique effigie a une histoire. Elle est extraite ,une vaste compo-ition qui se trouve à Venise, ê l’Académie des Beaux-Arts, et te,geeto.e.=,:ed1.7.,m,.e scelo ed une table, entre deux courtisanes. Celle.qui se 1,entea sa’gauchet, t donVISouche la main, est Anne BoSeyn. écot,. un trio ‘Crigani’,%eunieVotUalt grr=ealn:Zqe’dées’eqesure’xrcemnree 2. Henri VIII, par Hans Holbein. Dans les tournois et les cours d’amour il se lamait appeler« le Cœur-Loyal », ce qui ne l’empêcha Pas d’épouser si: femmes et d’en faire périr deux sur l’échafaud. I tambourinait des domts au vitrail de sa fenetre en attendant e coup de canon qui devait ponctuer le supplice d’Anne Boleyn. Kt’Z ele’ te Ire.' » Clau » de au point qu’on la tint bientôt pour nU?: dr: I: eneve r’s’ila »Pene’0xounlar me le ve: 4. Clément VII. par Sébastien del Piombo. En affirmant que l’Église aurait plus de gloire à perdre un royaume qu’S conserver vecze »,;etper i:Cateetr f Iu7,1reantaPnf’el.:n2eedee ra<>iceleg=,Naeuns ».• Vviv »e. d’esprit, aussi tenace. mais moins séduisante que sa emére. Des Tudor elle tenait la rousxur. la dissimulation et la cruauté. Elle voulut rester vierge, en souvenir des désordres imputés sa mire. Anne ayant été accusée ,adullére et d’inceste. 2