Vu au éclairé gUela,é.tt:?:e :u’eers esl F,euse..1= eLr’;`:=1,:re mitent entrée (ci-dessous gauche). Aux murs belles gravures anglaises. Rien de moins grandiose mais de plus harmonieux Que cette salle manger ovale dont la boiserie a été peinte en faux marbre gris. Fauteuils Louis XV recouverts de cuir rouge sombre. Rideaux de faille bleue sans embrasses. sensible au merveilleux équilibre qui se dégage des volumes et des plans. C’est la maîtresse de maison elle-même qui, avec un goût très sûr, s’est occupée de la décoration intérieure ; elle y a été aidée par un antiquaire dont la compé-tence et le flair ont été pour elle d’un précieux appui. M. Bernard Raynaud ne conçoit pas un cadre d’habitation comme un décor impersonnel et passe-partout ; il sait l’adapter si complètement à ceux auxquels ii est destiné que personne d’autre ne saurait y vivre, semble-t-il. Oui, dans cette maison où rien n’a été laissé au hasard, tout s’intègre inti-mement au mode de vie et aux goûts de ses propriétaires ; c’est sans doute ce Le dupait de l’escalier en piene du Midi gui mente à l’étage unique. Rideaux en velours de laine ronce retenus ar des anneaux de métal et rehaussés d’un galon en faille bleu clair comme la doublure. Le paravent formant placard entrouvert laisse apercevoir le vestiaire. L’harmonie des couleurs volontaire-ment sombre de ce bureau est un indiscutable facteur d’intimité. Les Zt’ fec’é de velours laine rideaux de whipcord rouge sont jere:nrturr clPt’o’c’gre7.’n rirt’er eblig;eiran’gÎeis’en:u âeMcClee dit°71 ‘rrIeZurrn’Z :11oenrcw1