1. De son bureau Ravel pouvait contempler le suprême équilibre de décor de Ille-de-France l’église dont le faite prolonge et précise la ligne estompée des collines, la terre veloutée, le mystère accueillant du feuillage. 2. 0x1balteee », ens’Ire cent’enr:Pe% « r » »i », que soulevait’rVi’ner■Lx mécanisrefe.°A’aevertcee globe de verre Ravel voyait le rire innombrable de la mer. a. Il dessina lui-même sur les murs de sa chambre ces colonnes doriques. Dans ses rêves, il voyait Daphnis esfrrissé er=airr1:rde°11rnen7:Ol 0. Mais c’est de sa fenêtre qu’il contemplait le lever du tn talion devant la perpétuelle méétoanmsorphose de la n ature . 5. Derrière ch°.?’Pee, »u’oZ7,:!1`.e.tt?’t »,’;e.d% regard lui paraissaient avoir retenu lave fugitive. Ce sont eux qui peuplent e l’Enfant et les sortilèges rr.