Le baugur de (‘halais-.11eudon où sont efflassées les plus pré cieuses reliques de raviatiou. Derrière lu Demoiselle de Santos-l) 4000. o aperçoit l’oiseau Canari ,o. ou fond, le Point I merroga ion. SIJ 111.grands de ce monde I Clan jadis de d dontairement oublier la• qu’un appel:l lem usiné s et de dédaigner, pn appareil., leurs rus gloire. C’est peut-être ourquni la France, poursui‘ ald la tradition, affecte de minimiser son génie passé. Mais les temps modernes ont donnénaissance à des peuples jeunes qui, fiers de leur force toute neuve, de leur prodigieuse crsance, se découvrent herculéens au point de croire que les grandes inventions qu’ils exploitent sont leur ouvre. Pasteur, les frères lumière, Mme Curie, Bran’ Georges Claude, Clément Ader et combien d’autres qui ont jeté les bases de toute la science actuelle NÉE EN FRANCE L’AVIATION A 50 ANS LE DERNIER CARRÉ groupe les survivants des pionniers de l’aviation : Pierre Breguet, Léon Bathiat, président des Vieilles Tiges, Robert Morane, Henri Farman, Louis Breguet (maintenant disparu), Gabriel Voisin et René Caudron. A l’occasion du cinquan-tenaire du premier kilomètre en vol, quelques-uns d’entre eux ont bien voulu souligner le rôle primordial de la France dans la conquête de l’air. passent au second plan. Et pourquoi nous en étonner ? Que faisons-nous pour défendre leur mémoire ? Tout un passé prestigieux dans un hangar. Une des plus belles pages illustrées par la France est celle de l’aviation. C’est sur notre sol que des hommes se sont acharnés pendant des années au péril de leur vie à construire des machines volantes. Et cependant, si quelque pieux admirateur ousimplenient quelque étranger curieux se met en quête du musée consacré à fa gloire de nos pionniers — le musée que tout autre 3