ÉCHOS et INFORMATIONS Nallon Au Us:tintent et der. Travaux trablic•• Le Salon international du Batiment et des Tree aux publics, qui eut lieu à la pierre Saint-Cloud, revêtit cette année une parti-culière importance. On y remarquait le pavillon des Ferme-tures F. M. B. Vendomc w, eruvre du décorateur Jean Bard, où étaient présentés les différents modèles de volets, de portes d’ateliers, de garages, de magasins, en bois ou en métal. DANS L’ÉDITION ■ Le Neige qui brûle. — Juste réparation de ce qui fut une longue omission Raymond Escholier vient de consacrer un livre (Arthèrne Fayard, édit.) à Marie Noël que, dès In3o, Montherlant saluait comme le plus grand poète français vivant. En termes émouvants, il nous conte sa vie à Auxerre et donne enfin à Marie Noël sa vraie place dans l’histoire et dans le domaine de l’esprit. ■ L’érudition, le pouvoir d’évocation, la connaissance la plus fine du cœur féminin et u sorte d’intimité avec la grandeur s’unissent dans cette exacte bine ographie de la duchesse de Longue-ville, l’ Anne rie la Fronde, par Jeanine Delpech (librairie Fayard). Sujet délicat, à cause des singuliers rapports de cette princesse avec ses deux frères, le grand Condé et le faible Conti. La confusion de la Fronde n’était pas non plus facile à débrouiller. Mais tout devient clair, plausible, vivant et vibrant sous la plume de l’histo-rienne. ■ En partant d’une observation exacte, Christine Garnier rejoint toujours le monde des poètes. Jamais ce don de troubler la réalité jusqu’au rêve n’a été plus insinuant que dans son dernier livre, les Cendres de la Nui/ (Jeheber, éditeur). C’est le roman d’une nuit de Paris, vécu dans un poste de police. Alertes, crimes, désespoirs, tout ce que l’ombre met dans sa hotte nous est rendu ici avec une cruauté feutrée et un grand pouvoir de suggestion. ■ Le Fil de le pie. — Max-Pol Foucher a réuni en un volume (Robas Laffont, édit.) des improvisations qu’il a prononcées devant les cameras de la Télévision française cette émission hebdomadaire a pour titre le Fil de la vie n qui est aussi celui de cerecueil. Chacun de ces textes, qui traite d’un problème humain d’actualité, est riche en réflexions : le moraliste y perce sous l’historien, donnant à cet ouvrage une rare densité spirituelle. ■ A l’occasion du soixante-quinzième anniversaire du Syndicat professionnel d’Entrepreneurs de Travaux publics de France, les Editions c Science et Industrie w viennent de publier un oorage qui, «par le texte et l’image met en lumière la contri-buution que, depuis trois quarts de siècle, l’Entreprise française des Travaux publics n’a cessé d’apporter au développement de la richesse nationale. PI.,1,111 VIENT DE PARAITRE L’HOMME QUI DIT NON le nouveau roman d’Olivier Quéant Un homme – Jean – ennemi des conces-sions, dit a non » à certaines moeurs actuelles de la presse, de la littérature, des arts, du cinéma. Ce maniaque de l’absolu dit même n non » à l’amour par crainte d’un déclin! Vous jugerez vous-même son attitude en lisant cette cin-niante satire où des scènes émouvantes alternent avec des tableaux comiques peints sur le vif. Un livre tendre et cruel. Q_UELQUES OPINIONS « Il me semble que ce haros qui dit « non »à tant de choses devra accepter le succès. GÉRARD BAUER ‘tees teibulerem%rij’erCaetrlistrrin' »‘ » GABRIEL »MARCEL, de l’Institut. « L’homme qui dit «non » prvoquera, sans doute, quelques polémiques. mais personne est profondément de notre  » LE FIGARO «betr rjr=ec qui n’oublie pat, Sa miseReere,,,,,Es sal=eaert »eurrU une verve concision densité. »CLOUARD « ARTABAN» « Ce roman traduit une soif d’authenticité, une attitude courageuse. « PANORAMA CHRÉTIEN w « Rien chez le héros de Ratant qui ressemble à l’espèce d’Une dont le roman quotidien fait une si banale consommation. » « LA LIBRE BELGIQUE n « C’est le livre le plus significatif que j’aie lu ces dernières années. aussi le plus sensible et le plus sobre.« L’Homme qui dit non w m’a révélé « ‘sfeRIL’ilile,envergure. » « LA NOUVELLE GAZETTE DE BRUXELLES n … Je n’ai pas quitté ce livre et la fin m’a enchanté. » LA VARENDE. L’HOMME QUI DIT NON e DJTTONS PIES R l• IIORAY XXXIII