Vaud mime qu’a la D.S.T. on se doit d’are au Ji bien sapé (soyons actuels >,) que les élégants forbans qu’on a mission de pêcher an lancer lourd dans la mare aux Suspects. cette histoire, d’autre part mes bien faite : d’abord, le couplet attendrissant touchant le misérable sort des é personnes déplacées que l’on nous dit tâter successivement de toutes les polices d’Europe, toujours brimées, toujours expulsées pour t aller se faire condamner ailleurs homélie au moins originale quand il s’agit d’espions ; ensuite, un certain arbitraire ici et là, notamment avec l’insigne maladresse du jeune inspecteur allant se jeter en plein dans la gueule du loup ; enfin, la drôlerie impassible des moindres interventions de Jacques Motel, dont le résultat le plus clair est d’amuser si bien que la tension dramatique s’en ressent très sensiblement. Par parenthèse, je ne m’explique pas comment les producteurs ne semblent pas deviner toutes les ressources inemployées de ce comédien. Ab ! les femmes d.. C’est par le film que Susan Floymarrl commencera à prendre la mesure de Kirk Douglas qu’elle médite’ d’acruser de forfaiture dans une Affaire ultra-secrète. LES LAVANDIÈRES DU PORTUGAL (B). Comédie française fantaisiste, en couleurs et dyaliscope. — CADRE – Divers lieux de Paris et du Portugal. SUJET – Ardente rivalité entre deux agents de publicité pour la décou-verte de la lavandière portugaise idéale, destinée à illustrer la bineuse chanson pour le plus grand bien d’une marque de machines à laver. RÉALISATION – Pierre Gaspard-Fluit entrain et bonne humeur, sinon génie… INTERPRÉTATION – J.-C. Pascal de l’assurance et de l’autorité ; Anne Vernon : très gentille ; Paquita Rico assez lourde et sans grands moyens. Novr. – Flistoire passablement tirée par les cheveux, c on pouvait s’y attendre, et mal équilibromme ée, de surcroît. On Campez one Espamok au bord de l’eau, donnez-hd à laver un chiffon propre), oubliez le battoir et rous incarnerez en Raquai, Rico le morille déposé des Lavandières du Portugal. y trouve des scènes qui pourraient être de comédie, d’autres qui sont de grosse farce, d’autres encore qui s’inspirent de l’opérette. Ce qu’il y a de mieux réussi cc sont les crocs-en-jambe, risettes venimeuses, coups de Jarnac et autres douceurs qu’échangent allégrement J.-C. Pascal et sa rivale Anne Vernon sur les routes et le long des lavoirs du Portugal. Ça ne va pas loin mais c’est drôle et prestement enlevé. Pour le reste… ce n’est pas grand-chose. AFFAIRE ULTRA-SECRÈTE (B). Comédie satirique américaine de mœurs journalistiques. — CADRE – New-York et Washington. Scia, – Propriétaire