Itil• 1979. Manteau trois quarts blanc, forme ballon. L’auto/mu donnée flans le dos par trois godets est reerre° à l’ourlet du bas. Emman-chure onlortassble. Givenc179. — T. Bois de Boulogne. Ensemble robe et manteau trois guerts en diagonale beige. Les moches du man-moue et ‘1:ra’oetni■ s’aitra!reeeher’âMr Amilcar, Salmson, Morgan, Rosengart, Matins, etc. Mais les possesseurs de ces engins trépidants, légers, souvent inconfortables, ne s’en tenaient à cette catégorie que contraints et forcés. La petite voiture correspondait à de petits moyens. Avec l’euphorie économique retrouvée, vint la belle époque de Bugatti, Delage, Hispano, Talbot, Hotchkiss, Delahaye… Rn l’ère, dite a d’austérité a, que nous traversons actuelle-ment, il est normal que la courbe redescende. Mais la petite voiture n’est plus considérée, comme autrefois, en parente pauvre elle représente une solution normale aux problèmes d’encombrement et d’économie. En abandonnant de son plein gré les joies de la grande puissance, l’automobiliste prétend 2 ne pas renoncer à son ancien standing ; il n’éprouve aucune honte à placer son Isetta entre deux mastodontes américains. Le succès de la z CV Citroën et de la 4 CV Renault a tué les complexes d’amour-propre et créé même un certain snobisme, pour une fois bienfaisant celui de la petite voiture. Cependant austérité ne signifie pas pauvreté ; les possibilités d’achat persistent, étayées par le développement du crédit. Et toute la production en dépend les constructeurs ne sont pas enclins à réduire la qualité pour serrer les prix. Le client, surtout tondras de diminuer les frais de consommation, d’entretien, d’assurance, d’impôt, continue d’exiger les perfec-tions d’une grosse voiture vitesse et confort. Il veut rouler