Côté village. une échauguette prise doses le toit se profile dans le ciel, telle une tour de guet (1). La cour Condé dans son ensemble (2) • bâtiment d’habitation à ilroile; au fond, les garages ; à gauche, les anciens communs gai abri-tent batelier où la maîtresse de maison fait de la peinture. La salle d manger (3) a T â est des retours, il est des prédestinations qui feraient » » » » »h’» » » »i » »‘ 1 croire à la bienveillance du sort. Ainsi, des bâtiments construits, sous le règne de Louis XIV, par le grand Condé, au château de Trèves, près de Saumur, reviennent aujourd’hui à l’une des descendantes de ce prints•. I .n demeure que vous voyez ici a été sauvée de la destruction pat’ Une femme de goût, qui l’a moins disputée au temps qu’à l’indifférence des hommes. Du château de Trèves même, vieux de dix siècles, il ne reste que ruines une terrasse et la superbe tour-donjon, construction militaire du x‘, siècle, rot reprise par Robert Le Maçon, chance-lier de France. Les écuries, ajoutées par «1lonsiour le Prince », auraient péri comme le reste, faute de soins, si le comtesse d’F,„, n’avait résolu de s’y installer, cohabitant, jusqu’il la fin de leur bail, avec les fermiers, nui °maniaient les liens dans des conditions tont a fait pr eilive.s. Vers 1937, abattant notnInil de cloisons et grattant l’enduit des murs, on est arrivé à retrouver partout il, blanches pierres de tuffeau, mer,illcmement appareillées. Le chauffage central fut installé, ainsi que l’éleelrie une mmie, des salles de baies, et la cour Condé devint cette sono ill..mière qui arrête le pas-sant. Ses écuries, sans aus,i belles que celles de Chantilly, sont décorées, a l’un tlts angles du Henan qui regarde la ‘dur, ihine Ires jolie eellaugnette Aimennb. Ilenient. de Kindia: pninee sang pouvait y loger nad spn I i., In d ‘esininege : pual ras ingl-dis-lieur chevaux Mani, et 1111,ode ib. 1,1 ttossedant cent clt.x blancs et personne n’ayant I,- drutt de l’égaler). I,s terres qui entourent le domaine .ail eullkb, s à la manière des jardins de curé. Les Ambre, Louis SA ». aménagées dans l’ancien grenier à fourrage. n ont Men elp ler ans salons et à la salle à manger Louis XIII, !tri. ■ I,■gis les « piquerons» et des palefreniers. Voici les salol,: tilt l’on eadmit jadis le sel pour ne pas payer les impôts don] tel denrée était grevée, 45