l;tttst rd Pilet, tW 1.938. Voei Criudel (« lire 1,110,eLtletur,u-bni t1 ba lt tsi,t, tis.rtmt par et .112trie. Il st ruiler ,to 19.;I pur ut, ,s ut bit., .,ur I ble.mob cl il ,ut s ttb, phis tard .Lues unn�e ,=guipe rndi.en,elr. Ses moyeu, !dry, t’ut,. le er.Ville111 1,, qu’il ntetngrue eue Jitt Lui ,. X ttoier Silll,eirec rtppty-ti«tddfe’snipedeIsant, d-pue, 195-1. ll esr nrrttelle,unettt «as nuti caret’. nue l’a pr,,- I tri ml bord meus d uult, eb t’out( imbr beur prochain set cote. Agé de vitt et-ring el’a pus eu b ocrwsitai ter po ri bi pt, ri un gram, «couler, lounots. Son «nhuit net style moderne jatte tIt’bit de lui on très redoutable alli’ersteire. rh.ographies Gilles de Kermadec. 1..à coupure do la guerre brisa les élans des jeunes, retarda la « reeou-siau n du tennis francais, et la mise en train fut laborieuse au leu-Minain des hostilités. Bien jouer au tennis est une question de don ‘e’st aussi une question de travail,c’est-à-dire de temps, et]’amateur ne peut toujours [lasser un nombre d’heures suffisant sur les rouets. in:, pour atteindre la forme des athlètes américains ou australiens Hequemment pris en charge fuir leur Fédération, il faut s’imtrcindis• àun entraiimment intensif incompatible avec la vie ib. bureau. Dein-ils deux ails, l’équipe de Francs, animée par M. Iierthet. semble essuscitée. Non qu’elle ‘misse déjà avoir l’ambition de ire la Maine. mais ses anbis, ont épisodiquement remporté den iattist,ile» sur 1,, meiniilleurs joueurs du monde. II est évidemment surpa’• 1.111 dl’ Parinim battu par le Britannique Wilson alors qu’Il csl mni, a lima ehainpiou australien Lewis iload. (Atte double perfin I1:11111• ,w,us, une inquiétante varialPin de forme, rue indique aussi que le pire peul etre suivi du meilleur. problème est le menu, pour Itobert Mailler. Nie: deux « rides desérie » sont hissées au premier plan du tennis mondial, niais le anquese d’habitude des grandes eompélitions fait parfois craquer louis nerfs. Il u, faut luis eherche r d’autre explication à ues balles qui subitement partent dans les tribunes, sMnfoneent dans le filet ou semblent gmeieusemeni offertes aux coups déelsiis de 1ailversi.iire. Hans le match qu’il gagna «autre l’Anglais Davies, Pierre Hannon égala piaulant une demi-huer les plus pristigieus champions de Vane, Il était alois recontintant de constater qu’II la wu» puissance physique il associail réflexes. eetle intelligenee du jeu qui es: dmis la tradition du tennis francais. Voila pourquoi mins avons pentu la rouie voilà pomJiimi nous l’i.spoie di• .nlenur un jour chez nous. 11.suuti 1:»mxtau.s. 7-+ar