.A ,,,braise l’houles, Théodore Dubois, Gabriel Fauré, létal I {abord, Claude Delvincourt succédèrent à Cheru-Iiiiii, et il fallut plus qu’une révolution pour bouleverser organisation qui avait enfin trouvé son équilibre. musical et l’art dramatique cohabitèrent. long-temps dans l’ancien collège des Jésuites, lé. car de holrid. Mais les locaux étaient trop exigus pour :recueillir Clèves des deux disciplines, toujours plus nombreux. ne séparation de corps devenait nécessai,, eh l’art dramatique émigra rue du Conservatoire, à deux pas de l’hôtel des Nlenus Plaisirs du Roi, où le baron de 13reteeil l’avait jadis installe. Le Conservatoire d’art dimoa tique obtenait pour la première fois, en 1946, son indépendance il allait largement en profiter. UN CONSERVATOIRE D’AVANT-GARDE… I. tilde priusaemes où il fixait st s pénates était rier obi la reine salle m lire où thiortie Mi longues années se thr-puhriert les totrapters ti parfaite de proportions ses ré lm m tex pat mecs, douée d’une sonorite dont itr- retelt•iles ont peine enriore à s’expliquer le st errit. des int lu nox au central de la r m’uvéite école. On l’a ,let dans un l’aliment nitra-i..Flue, dont les rio haRudages ne sont pas enlevés. Tau rit agencé et conçu de manière que le Conservatoire ri repli—, le plus ellicaomnent sa mission des classes spin homo-. toutes dotées d’une scène ; une salle de répé-titionr sont également données des conférences ; un elirli ttù les élèves peuvent venir travailler, écrire leur „e t.r, lire ou simplement se délasser ; de larges escaliers di• ; des couloirs bien éclairés qu’illuminent ries tapisseries de Latapie ou de Lurçat… L’antique demeure des Vl uses est devenue un Parnasse confortable. … NOYAU D’UNE TRADITION Mt lé mou .onorphose du temple ne s’est pas effectuée en l’ermath Li ne matinée de printemps. II fallut bien de absi nuit ion à Paul Abram pour l’imposer II en fallut pli, émi, à Roger Ferdinand, l’actuel directeur, pour la ihallieo r. Plais, si le cadre a changé, une disse demeure fitimeriblii. plus solide que jamais; la tradition. Cette tt,,it ton est celle-là même dont l’École de déclamationpour le héâtre français, malgré son existence éphémère, recueillit l’écho, en 1786. Dc cette école fondée à l’insti-gation du due de Duras sortirent Molé, 13ingazon, Fleuri et surtout Talma. Au xrxe siècle. Ir Conservatoire d’art drain:0;qm. rincer. des premiers prix Ibert. Lambert, de EN. laegrreeit t• Moreno, (Impolie. I3argy, t� tris. Pl:write Brandes, et ce palma tés s,tlfrai.tà sa ;Lei,. I., j111. fut mujours d’une extreine éévérité t des comédiens tels que Silvain, Lucien Guitry, 1:argué-Poe, I iejane durent se ,:ententes d’un second Prix, et Sarah Bernhardt n’obtint jamais la’ récompense supréme. Au steel,. la moisson fut tout aussi brillante. Citons pleine, Ledoux, Jean Marchai, Pierre Duo, Jean lo lit tarie Bell, Madeleine Renaud, llélène Per’tré, Jacques Dumesnil, Louis Seignier, Chamarra, Vera Korène, Annie Ducaux, Pierre I ; I:oe.ha r. Charles 13oyer, Renée Devillers… Cette liste r lei r I h’it re complète. Elle a pour seul mérite de montrer