FERNANDEL ET BOURVIL. Nos pbénomenes comiques se ‘v’i7(7)77-ne’r!=e1e.U.enee »,1; V.M.°`CEUJ’,’,,?:;?,tie=j la serie. est devenu grand à?;21dairtn-LIÉst,ouctsul lui direction ner e la Traversée de Paris ». FRATELLINI ET MARCEAU. François Fratellini (3) forma tons-temp avec ses deux frères un de Jean-Louis Barrault, la suite Marceau 14) nous a rendu rnime,.et le personnage qu’ilnime ebutg. qi sont des phénomènes inexplicables. Nul médecin ne voit clair dans ces cavernes sonores. Limites du rire également, que la brièveté de sa résonance. La plupart des livres dits désopilants, et qui le furent pour nos pères, nous tombent des mains. Des comédies jouées mille fois, reprises vingt ans plus tard, s’écroulent ou languissent. On rétorque que ce sont là des pièces de fabrication ; qu’il est juste que Savoir, Coolus, Verneuil et Mirande rejoignent Bisson, Gavant, Hennequin, Desvallières. Mais Tristan Bernard, mais Maurice Donnay, mais Alfred Capus n’étaient-ils que des fabricants ? Allons-nous voir périr de la sorte ceux qui nous amusent aujourd’hui ? Reste au théâtre la ressource des costumes et des décors du temps tout se remet ainsi en place, et l’effet de recul ramène le rire. Succès rétrospectifs du a Roi », de l’a hante des Cocottes »… Ce qui survit dans les oeuvres composées, leur partie supérieure, suffit à condamner le comique de circonstance, fait d’allusions contemporaines. Que reste-t-il des couplets de Rip ? Quand tous les dessins de Daumier nous cinglent encore, combien de ses légendes nous amusent-elles ? Ecoutez la musique d’Offenbach : ne ferait-elle pas danser les morts ? Elle Haine le plus souvent comme un boulet les plaisanteries de Meilhac et Halévy… 4. JACQUES pTerATon.n aEgner, eM eMulot. il existe au moins un rapport tous deux ont peine s’adapter au monde actuel, à l’uniformité, aux idées reçues. Ce sont des poètes. Nous reverrons M. Hulot en ctobre, sous cet aspect assez soucieux, dans a mon oncle ». l’holographies: Sirol — Berna,’ Nadar — R. Viollef — Doisneau.