Net ti-atet14 lAeetit ids tneiladi del lit place lieergt, I I mmmmmm n..au a Saint-Cloud. Il y a quelques semaines, notre directeur général, Olivier Quéant, adressait au maire de Saint-Cloud, M. F. Chaveton, une lettre dont voici les principaux passages Ayant l’occasion, chaque dimanche, de traverser le pont de Saint-Cloud pour prendre l’autoroute, je suis depuis une dizaine d’années navré de voir l’état peu esthétique dans lequel se trouve la place centrale de votre commune. C’est cependant par là qu’arrivent en voiture les touristes étrangers qui ont pris l’autoroute, une des rares, d’ailleurs, que possède notre pays. J’ai beaucoup voyagé et j’ai pu consta-ter que toutes les capitales d’Europe et du monde s’efforcent d’accueillir les visiteurs par des décors attrayants, parfois parles parterres de fleurs, et je déplore que les étrangers arrivant à Paris par Saint-Cloud, aient une impression fâcheuse. Cette place, par sa situation même, devrait être l’objet de soins particulièrement attentifs de la part des urbanistes et des architectes. N’ayant lu jusqu’à présent dans le presse aucune pro-testation contre cette carence, je suis disposé à mettre à vote disposition la tribune de Plaisir de France, qui, vous le savez sans doute, n’a pour but depuis bientôt vingt-trois ans, que de servir la cause de la beauté. s M. F. Chaveton a aussitôt répondu en ces termes Croyeq bien que notes déplorons autant que Me l’état lamentable clans lequel se trouve la place Clemenceau, qui fait ressembler cette partie de notre territoire Caen/mal à une cille sinistrée. Il est difficilement concevable que les Ponts et Chaussées, qui ont exproprié el démoli pour la construction du tunnel, des établisse-ments très connus, comme le Pavillon Bleu, André et Maurice et l’Impérial, qui formaient :in centre d’attractions et qui faisaient la joie des Parisiens et de nombreux étrangers qui Ph.. Chadef aux. venaient à Paris, n’aient pas :redonné à cette sortie de Paris l’aspect coquet et attrayant avait avant la conshoolion de l’autoroute. One ce mit ale pont de Saint-Cloud, à l’entrée du tunnel ou sur l’autoroute inéme, on a exécuté à grands frais des travaux d’embellissement, et c’est pourquoi nous ne comprenons pas que Ton ail laissé dans un te/ état la place Clemenceau, qui aurait A être incorporée dans l’ensemble des réalisations. Ne croyez pas surtoui que mis sommes sur ce sujet restés inactifs. Aussitét après u946, époque à laquelle reprirent les ira-vaux inachevés en 194e, nous avons saisi de la question le Comité d’aménagement de la Région parisienne, qui reconnut, dans sa séance A se juillet 1947, que mile sortie de Paris appelait un aménagement qui nielle le site en valeur’, qui examina un arant-projet établi par M. &unau, conservateur du ‘domaine de Saint-Cloud, et qui conclut en proposant M de confier l’examen de l’avant-pr jet aux architectes du Comité ; 2o de demander aux représentants de la muni-cipalité de Saint-Cloud de rechercher les moyens financiers destinés à la réalisation de la première tranche des travaux (il s’agissait à l’époque d’un ensemble de travaux se chiffrant à yen mil-lions de franc. Une telle soms) me étant impossible à trouver, le projet envisagé devenait utopiensque. M. Chaveton énumère uite toutes les tentatives faites par lui auprès des pouvoirs publics, à l’échelon du Gouvernement comme à celui du département, et auprès d’entreprises privées pour obtenir le finan-cement démarches jusqu’à présent vaines. Puissent ces lignes aider à la création de l’ensemble architectural ou décoratif qui mpose. Le …Ida de la CI•07 X. Nous n’avons guère l’habitude de publier les lettres élogieuses qui nous parviennent La place GeorgefiClemenceau à Saint-Cloud. Les peupliers récemment plantés ne cachent pas la lèpre des démolitions. et préférons faire place ici à celles qui contiennent des observations ou des contes-tations. Si par exception nous détachons de notre courrier une lettre, c’est parce qu’elle exprime une communauté spirituelle avec nos lecteurs à laquelle nous tenons beaucoup. De Mue Léon J… à Gap tt Le numéro d’avril m’a beaucoup écrire. La méditation du Chemin de la Croix était inconnue et profonde. Elle surprenait à chié des autres plus connues et devenues ronronnantes à nos oreilles. L’auteur (Détord Alourgifi) ni a ill(0111111, niais fayot remercié, « Wonsieur, d’avoir admis dans voire revue cet acte de foi. Il est arrivé providentiellement sous mes yeux, alors que je croyais les saints de pierre et le Bon Dieu de bois. M’igues a elf une autre résonance à cause de cette méditation. rd lecteur de dis ad, Un de nos abonnés, il. Maurice Bonafous, nous envoie quelques dessins de roses exé-cutés par son fils Pierre âgé de dix ans s Je les ai reçus de lui ce matin même, nous écrit-il, avec mission confidentielle et impé-rative de vous les transmettre. Il a admiré les roses présentées sur la couverture de votre revue et a essayé d’en faire autant a. Nous reproduisons donc ci-dessus le meilleur des dessins du jeune artiste en souhaitant que Plaisir de France l’aide encore à réaliser sa vocation.