— Segonzac voulait déchirer cette toile, dit Carco. Ce parasol rouge au bord de la nier. Je la lui ai arrachée. Il criait Je ne la signerai jamais! e Mais j’ai certifié son authenticité en racontant la scène. Le vestibule est l’antichambre des transfor-mations. Il a été conquis sur l’ancienne salle de bains oit trônait une baignoire en zinc que l’on remplissait z à la cueillère e. On l’a mué en une vraie pièce qu’éclairent le portrait de Carco, vu par Asselin en 1919, du côté opposé à la mèche, et des paysages de Belleville a par mon ami Rocoua c, dit Carco, Le peintre ascète qui 1,1 Ill’ Bei hurn, dans hile Saint-Louis. Une maison (111 eolic siidle qui gardé son toit couleur mot. d’est lit qu’habitait le duc de Richelieu, le1 0ramicur d’amour que ses soldats surnommaient Berl, l’ire la 51,liamile pour d’autms exactions, commise. a farine, el qui si, maria h quatre-vingis ans. 51iiintenard. 011 ilmixiimi• éloge, l’appartement de Biznieis Carco. .l’enviais sa maison de L’Isle-Adam. arbres fruitiers.fruitiers.,1111 Pli II I ilse donnait (les tours deci, rein en Mais il m’explique que l’Isle-.1(lain i’glati pas aesez une ile el qu’il est trois fois insulaire, Coixe (l’origine ne à Nouméa. lise dans Bile Saint-Lee Le peintre Digninioni lid 0 ‘iodure eut appitrienient que depuis dix Indris limitait une vieille daine ale quai oc( ingi -deux ans quoi rc• pitres yui mil:11111.1Thu., Un lumps louis ici qu’un, berge pion’ péclieni•s à la ligne. La vrad, façade elait sur In 1•0111., svs colonnes corinthiennes. ses communs – Francis Carco gare son auto – et le jardin, où deux iiciadas, un marronnier, des urnes vmaliSsantes conservent les gr•;.•(.. siècle. cc côté, c’est le salon-salle à manger t l’éden des opalines. Elles brinell’ dans les vitrines de leur éclat laiteux connue aniani de lunes. Des toiles do Derain et de Segonzac donnent son ton xxe siècle à cette pièce, que j’appellerai la salle du sauvetage. La fenêtre du bureau s’ouvre sur le quai de Béthune. 85