• • • / POÈ LIAS Or G- As-r A Pudeur, la Fidélité. la Coquetterie: c’est ainsi que 1_1 se présentent telles pièces de François Couperin. Nous n’avons plus qu’à nous abandonner, sans réfléchir davantage, au déroulement harmonieux d’une musique entre toutes irrésistible. Ce qu’elle nous suggère, avec une discrétion qui touche au miracle, il est bien inutile de chercher à le préciser plus exactement. Mélodie, harmonie, rythme ici tout s’unit pour nous proposer une sorte de tableau sonore dont la délicatesse nous retient beaucoup plus sûrement que le o programme O trop nettement établi de telle grande œuvre romantique. Zt O Quelquefois, d’ailleurs, nous hésitons un instant… Que veut dire notre enchanteur avec ces titres dont la « clef » nous échappe et qui, cependant, nous ravissent le Bavolet flouant ou les Barricades mystérieuses…? C’est ainsi qùe Debussy, deux siècles plus tard, la dernière mesure achevée de ses Préludes pour le piano, nous en proposera (quelques mots suffiront…) le prétexte parfois tout aussi déconcertant. Des pas sur la neige (avec une assez énigmatique indication de « nuance » : « Ce rythme doit avoir la valeur sonore d’un fond de paysage triste et glacé… e), ta Fille aux 37