qu’ils en aient, produire davantage qu’ils ne le font. Vu sous cet angle, Cannes nous a donné un florilège cinéma-tographique assez remarquable. La dispersion des festi-vals en a peut-être réduit la portée, mais Voleur de bicyclette, déjà montré à Locarno et au Zoute, comme Manou, gagnant à Venise, manquaient seuls pour donner tout son sens à la manifestation de Cannes. Ce sont là des impondérables que la saison prochaine devrait égler. Le jury, d’ailleurs, ne s’y est pas trompé. Il a bien va quels étaient les films à récompenser et en a dressé la liste sans commettre d’oubli, à une exception près. Mais ces récompenses, pourtant, sont assez curieuses dans leur expression. Un filin anglais de M. Carol Rend, The third man, a obtenu le grand prix international, et il s’agit, en effet, d’une œuvre fort belle, type même de la bête à festival, bien léchée, sans un défaut, jouant de toutes les trompettes magiques du cinéma. On lui préfère pourtant, et c’est en tout cas ravis de la critique qui lui a décerné son prix spécial, The Set up, de M. Robert Wise, film américain qui fait de la boxe une espèce d’essai saint-simonien revu par un écrivain de la série noire a. La force, l’originalité, le classicisme d’un thème que le cinéma n’abordait d’habitude que par le détour du romantisme le plus suspect font de The Set up un ouvrage absolument exceptionnel. Révélation aussi, le Rio amer de l’Italien de Santio, film touffu et brouillon, superbe et abondant, presque trop riche de talent, une IllL .1„,,iGilde)e)I.rele n.,.,,,….,nnifl5e la pol la 1:11„m dg, 1’1 I.– G. Ital,,,aaa. f in ler-prhiati hh es, eheelh,nh rhn ‘gré, it l;eh ‘l ér Xra, arl, ara ha de prt, sur phssé, et e pl, hi nen ts ine de ses ;ils.