E DOM DE LILEOÏ par JEAN-.LOUIS Vaunnyr.o. u. it III rdeniree drille en men blé de sièges donis muer’, fer Au num, lm nnemm d .1 u busson de slyle mer id num/Iaa,eue,le ise fer /i gilrl pnrehem ill. Li . belles demeures anciennes qui, att.jourdlitli par4.klierkI Pari, selon leur qual ier 011 1,11′ Chat., ilk-orses manières de sol., 1, se. lu plus rare. la plu, torisée est ,r•Ili• /mi 1,r.p ».Itle. dans 1:■ vie préseille. leur vie licam,ktip settx dan, conlimtent d’aipar – 11,■•■•rtd,,Is de leur ‘,rentier ‘,volute-aire 1’ ■ .”itre, vivre et Inourir dans I, IO l’III(‘ 111/1iAIIII, VS I pa. d’un inkète parisien… ploparl de, rie,, u lauels de la capitale s-ieillissent dans 1:k di.elleartc, dans les affronts ! uujI P’ UO1111111′ dans le larais. le petit ,millkien.e ul isalial les imdatleril, soit que. sur les deitu ri,-,.1111are, eu, ia,reimd”iretriunI. minisleres. mairies.s, écoles. cl, Certes, I, vie,, u fices suffi 15×1 luira là, dans leur anatomie. mais ils jamais perdu leur àme… Yautres hidels les hôtels sauves – possèdent le pristlege. s’ils ont changé ,l’occupants, de ne pas avoir change de destination ; par exemple cella 1111i avili alli1111r-d’Imi musées ou ambassades el, mieux encore. ceux où l’on vit toujours privem.I. il l’on a fixé son loyer, où l’on a apparu ses lares s. bu gne élégnule de celle rampe de lu fin d u XI I I P’ siècle se d essi ne sur le num mile.