d’art que sont nos modernes paquebots. Qu’il s’agisse de 11k-de-Franco, reconstitution d’une ancienne unité entiè-rement renouvelée, ou d’une construction neuve comme dans le cas de la Marseillaise, la préoccupation est la même faire techniquement quelque chose de parfait, de complètement à la page, réaliser le confort non seule-ment le plus moderne mais le plus élégant, donner enfin, dans les salons, la salle à manger, les cabines, une image aussi exacte que possible du meilleur goût français. A notre époque d’égalitarisme, c’est là, semble-t-il, que le luxe, le luxe accepté, approuvé, encouragé, s’est réfugié les palais, s’il en est encore, s’excusent d’être La salle de jeu, des en peurs, ‘de première classe, due ri herlse.is-Candi, qui et dérase, ,si (e solen, de seerrespeenda tee, se l’a p-parleneeed de las, e Elautpees et. A droite appartement de luxe c Chantilly o, décoré par Lelett. Ci-dessous sedan elee spiteestreseed de Photographies Compagnie Générale Transallantome. 46 des pillai. I, 5mo,, trop petits et trop lapilli,. décou-ragent le,. elléitt’i• de luxe aérien ; Ic paquebot peut encore rei.ter. selon l’expression consacrée. un palais flottant. Spécifions cependant que le progrès consiste à le concevoir plus simple, mais plus confortable que par le passé. L’Ils-de-France, après sa seconde naissance, n’accommode que 1.349 passagers, au lieu de 1.548 antérieurement, mais avec plus de place pour chacun d’eux et une moindre proportion de cabines de luxe et de première classe ; l’espace réservé au personnel a aussi été plus largement dispensé. Quand je pense aux bateaux sur lesquels j’ai voyagé dans ma jeunesse, quelle amélioration depuis les anciennes salles à manger si sombres, avec leurs chaises à pivot fixées dans le plancher, avec leurs longues tables d’hôte, armées de si violons o et présidées solennellement par le commandant, comme nous les représentent encore