L’ e ILE-DE-FRANCE nous retrouvons dans quelque port l’un de nos paquebots. Mais les étrangers qui circulent sur les océans le sentent aussi. Je n’exagère certes pas en disant que dans nos services maritimes internationaux nous avons réalisé quelque chose de spécial et ,à vrai dire d’unique. Qu’y a-t-il là de particulier, que ni l’Angleterre, ni l’Allemagne, ni l’Italie, ni les États-Unis n’ont su comme nous réaliser ? Laissant de côté le mérite technique des officiers et des équipages, que personne ne conteste, ce qui frappe surtout, quand on met le pied sur nos bateaux, c’est qu’on y respire l’atmosphère de la France. L’atmosphère de la France, qu’est-ce exactement que cela veut dire, s’agissant d’une traversée ? Les bateaux anglais sont impeccables, nous le savons, magnifique ment marins, mais la discipline, même pour le passager, n’y passe peut-être pas assez inaperçue. Sur le paquebot français on ressent une impression de parfaite liberté, que ne diminue en rien une charmante impression ap, de Paris», à la Qlois bar et cabaret, pôle d’attraction des passagers de première classe, a été décoré par n Le Bûcheron ainsi que le salon-hmoir cabines n, In salleà manger des tonristes s et l’appartement de lude cr Saint-Germain ■■,