gauche Surtout de nible de KMI.,-Gilles et. ,,,drn ‘,dr, sur le pont des bateaux, utile et solide en nacelle de ballons, carrosseries, utile et souriant en berceaux. Le renouveau d’aujourd’hui, on peut lui donner une date, une figure. En 1935, cherchant une idée pour décorer les vitrines d’un grand magasin, Lina Zervudaki pense au mannequin d’osier, objet autrefois fort employé, même dans un titre d’Anatole France. Que peut-elle attendre de l’osier ? Elle découvre une matière est nnirdinairement obéissante, décorative, amu-sante. Elle l’ait connaissance avec des artisans capables d’exécuter ses maquettes, n’importe quelle maquette. Dons le quurolice du Marais, entre deux hôtels nobles et déchus ils Grand Siècle, se cache une fabrique de meubles, à l’heure qu’il est, centenaire (/ondée en 1848, porte la raison sociale). Une demi-douzaine de vieux ouvriers travaillent là, à l’ombre d’un marronnier inat-tendu, savants en leur art. Pas d’apprentis, peu de jeunes. Pour remercier l’enthousiaste conirernaîtré, que tout 24 l’atelier appelle affectueusement « Monsieur Gaston », le premier fauteuil Zervudaki est baptisés Gastounet n. D’autres décorateurs, à peu près en même temps, viennent la technique. Cette année 1949, tous les salons et expositions ont montré d’excellents meubles de vannerie. La vogue est générale. La ligne du rotin, longue et continue, permet ces silhouettes simples qui nous plaisent, droites. mais point anguleuses. La matière est nette, frima, blanche. gaie. Elle s’accorde çà et là un moment de lioeitnic humoristique, un festonnage qui III’ nuit pas à la sobriété de remeihnitile. Les sièges sont comme s’ils russorts, car les lianes enlielacers sont de la millier, s IN ante elles ont à la lois lies qualiies souples ci Ies qualites résis-iimics du bois. Am lieu de bandiou pou: hes ainiatures, on parriii. incial uu 1111, 1,111111C dans 1111 1q1S1•1111,1■• 111′ ■1■1, AJnrt,recouvrit ouir, gain, par un s lai lias.’