vadzé, soirée Castellane, avec la chorale du lundi, révélation de la voix limpide de Lina de Toll chez la baronne Le Vavasseur, tant de bals et tant de cocktails, encore, autour de toutes les ambassades, puis d’autres réunions où la frivolité n’était que la pudeur de la bienfaisance. Il y eut surtout la réussite éclatante de S. A. R. la princesse Isabelle de Bourbon, comtesse Roger de La Rochefoucauld, qui, aidée d’un prestigieux comité, réunit les plus ravissantes jeunes femmes de Paris, de l’Amérique latine ou de l’Égypte, sous le signe du a Panache ,) et sous l’inspiration de Christian Bérard. N’oublions pas les mercredis très élégants des Ambassa-deurs, animés par le vicomte Ch. Benoist d’Azy, et les samedis de charmante jeunesse de l’Union interalliée, sous la présidence du comte Stanislas de Castellane. Et puis les initiés allaient attendre l’aube au Tabou, dans la dernière cave existentialiste, où les émigrés du Flore et les disciples de Jean-Paul Sartre se réfugient autour de la poétesse blonde Anne-Marie Casalis. Enfin, il y eut la grande nuit du 26 juin qui, grâce à l’obligeance de Mme Lavedan et de M. Léon Bailby, ressuscita le célèbre Bal des Petits Lits Blancs au La reprise des réunions au centre culturel de l’abbaye de Royaumont. Phot. A. Les ballets Jooss : Un bal dans le vieux Vienne. r Phot. lhandsk. La Vie du soir r, Faubourg-Saint-Honoré. La vitrine de Delion. — Phot. Schall.