FENEÏRE DE BOUDOIR (5,11)1)1 ER) DECOREE D’UN PANNEAU DE .11,a, C11 ABERT-DUPON1′ ph, Rep macramés ou d’épais  » venise par la légèreté d’un tulle grec ou simple. Le filet dont on fit une débauche exagérée avant la guerre. ne Mue plus qu’un rôle secon-daire On le fait très fin, d’une richesse de dessin qu’il n’avait pas encore atteinte et. négligemment, on le pose en bande sur les côtés, dans les plis ramassés d’un tulle ou d’une toile arachnéenne — nue — sur la fenètre vierge. Les ronds de crochets, les motifs aux points compliqués trouvent leur utilisation dans les dispo-sitions du même ordre. On accompagne souvent cc voilage. employé surtout pour les pièces privées. d’un double rideau de taffetas ou de I5-16. monté sur un ruché ousur e bande Lesun tringles de bois, de cuivre, les grands anneaux, semblent vouloir tomber dans une décadence prématurée. Au contraire le rideau bonne-femme, à petits volants serrés et bordés, épousant juste la vitre — ni plus long. ni plus court —reprend une vogue qu’il ne connut qu’en 1830. On le fait, à l’heure actuelle. en salin verni (spécialité anglaise/ qui se fleurit de fleurs transparentes: en France, ces étoffes, d’ailleurs très agréables à Fuel’, parce que propres d’aspects el riches de FIND ART DOC