26 tees, palpitent mcelleuse-ment. parcourues de fris-sons. On pense à des Albert Dürer. On neve aussi de marbres antiques. Et, en curieuse opposi-tion. les reuvres picturales, outre cette mente beauté plastique des nus. nous captivent par une frénésie de composition. par un choix de sujets hallucinants. fantasmagoriques, par des créations de monstres-pois-sons fantastiques, par une  » MARÉE PLEINE  » « MARÉE RASS singulière attirance vers ce qui est sans forme, fluide. éphémère et changeant mouvance des ondes mys-tère des eaux calmes, brève fureur des tourbillons. éva-nouissement des franges d’écume parmi les remous. Par-dessus tout. une orgie de lumière où les nuances les plus tendres se fondent entre elles. où des éclate-ments de couleurs font va-ciller le regard, brutalement. délicieusement.