20 LA DÉCORATION MODERNE A BORD DES NAVIRES ATELIER MARC SIMON (PIERRE LARDIN, DÉCOR.) PAQUEBOT « PARIS « . NOU-VEAU FUMOIR. GRANDE DESCENTE BOISERIE LOUPE DE FRÊNE. SIÈ-GES FRÊNE ET MAROQUIN BRUN dictions. 2n’t efrn% nP17u ie rnty’a ges ont banalisé le monde el que les ■.ornmodiles et le confort ont banalisé les voyages. il a pris le goût des dé-placements. M ais qu’apprend-il à ,,,urir ainsi ? Rien puisqu’il s’ingénie à emporter avec lui le décor dans lequel il vit habituellement. Les trains gym) des wagons-lits, les Pullmann sont de véritables salons. Les arma-leurs. comme ks entrepreneurs de transports lerrestres, qui ont compris hon penchant, s’ingénient à leur tour à &oder de sa vue tout ce qui lui uoppellc la mer. De sa cabine au ,Ion. il ne la verra pas. Un jour vendra sans doute où les aménage-ments inférieurs seront si bien clos que l’illusion du poncif  » Palace flottant » sera parfaite. En allendant, les paquebots deviennent de plus en plus luxueux. Les cabines, véri-tables appartements condensés, les fumoirs, les salons, sont garnis de boiseries d’espèces rares. Belles proies pour les flammes. hélas ! Le bois banni des constructions terrestres, se réfugie sur reau. Avant la guerre. sur certains poque-‘mils allemands des lignes tropicales, In salle à manger, les salons et les Runoirs étaient revélus de marbre. C’était incombustible, rafraîchissant et hygiénique. Pourquoi ne pas adopter. à notre tour. celle solution heureuse-ent cxpëruncnke est bien que nos grands paquebots soient les ambassadeurs du goùt français, n serait peul-etre bon que les  » locaux affectés aux passagers fussent adaptés aux conditions maritimes et climatériques des voyages. Une demeure mobile ne dol pas. logiquement, être installée comme une habitation fixe. Il est vrai que Maurice Dekobra couche o Paris dans une cabine éclairée d’un hublot. L’homme aime la ficlion. A. DIARD.