machinale des ceuvres du passé ou de ridi-cules folies d’artisans telle que cette serrure en croix d’honneur. sent citée, qui est bien le type de q e peouv t p d ie d s inanuelle privée du secours de l’esprit. Les récentes expositions de l’artisanat et des meil-leurs ouvriers de France nous présentent mal-heureusement trop de ccs « chefs d’oeuvre stupides el inutiles. Il faut réagir contre les habitudes de paresse mentale que la naissance du machi-nisme el l’abandon de l’apprentissage ont dé-veloppées et contre l’ignorance des techniques dont font preuve tant d’architectes el de dé-corateurs. Autrefois quand l’artisan ne dispo-sait que de sa forge el de son marteau. il fallait bien qu’il s’ingéniât à découvrir les secrets cl les façons de se comporter du métal pour les faire servir à ses propres desseins. JEAN PROUVE PORTE DE BRASSERIE A NANCY (DUFOUR ET MIGRA UT, ARCHIT.) • •.1.1.&4.1.11: .6e-ePeeeeeePP-1 PeelePP.’eeti. F44.14.1444 11,11.1444.114■1 ML.11.111. 1..1.M.110) eel.14m141441.4 amummwqmemomememem PeeeeeeVePPPT PeePreiPPP. Z.Z.14141.14:14.1 rite1mmm11eme…..1 FaMMIUMIIIM 1(.1 OS si BES BRILLE D’IMMEUBLE P. PATO(‘ I E LLANO FLORÈS, ARCHIT.) Aujourd’hui, la diversité des machines-outils est telle que n’importe quel croquis devient réalisable. Il s’ensuit que le décorateur ne s’infôrme guère des modalités profes-sionnelles. Il ne prend plus souci d’étudier la matière. Il la torture et c est toujours au détriment de son oeuvre Le développement industriel facilite des réalisations jadis impossibles. mais il ne faut pas utiliser les machines à l’encontre du bon sens, c’est-à-dire en faisant violence aux propriétés de la substance et à la bonne entente du métier. Au temps de la main d’reuvre personnelle, poussé par la nécessité. on s’efforçait de réduire la tâche. d’améliorer sans cesse la fabrication On aboutissait ainsi à des for-mules simplificatrices. d’autant plus recommandées dans l’état qui nous occupe que le fer trop tourmenté voit dimi-nuer sa résistance. A notre époque, la machine fabrique sans raisoner les pièces quelles qu’elles soient. Rien ne sert de freinn à l’illogisme. On ne peul que faire appel à l’intelligence du créateur de modèles pour le ramener à de plus saines conceptions. Le décor pour le décor. la fantaisie pour la fantaisie ont lieu d’être bannies. Tout doit etre assujetti à la fonction des choses el c’est de l’assemblage même des éléments indispensables que doivent surgir les conformations dites