eu a Leu le Selon de I lenugene, dett Interod,dete mosalque. L’amusante technique qui co.ble à disposer Garoua ne surface de mortier des•plaign. de caramig. de diverses /ormes et couleurs peul animer rie façon te fond d’un abri dans un tard.. Cet ouvrage est de Christiane d•Esii• • AU SALON DE L’IMAGERIE A U LA VIE JARDIN =Salon Salon de l’Imagerie s’ouvre cette année au Musée Galliera et une partie du jardin a été transformée en exposition. Les décorateurs parisiens qui se penchent à l’accoutu-mée sur les différents problemes que pose la vie au jardin y ont réuni leurs ouvrages. Si les solutions qu’ils pré-sentent ne sont pas toutes d’une extraordinaire nouveauté, on y peut suivre l’évolution telle qu’elle se présente pour la plupart des problèmes que pose la vie d’aujourd’hui. Les créateurs ont compris l’obligation ou chacun se trouve de faire soi-méme les corvées ; si l’on doit trimballer des meubles de la maison jusqu’au jardin, il faut que ces meubles soient facilement transportables puisque nous n’avons plus de domestiques pour cet office. Les décorateurs essaient donc de trouver des formes heureuses â des fauteuils munis de roues, s’efforcent de prévoir, a l’extré-mité des sièges, des saillies qui permettent de soulever ceux-ci facilement, rendant ainsi un hommage collectif â Pascal. Car ce grand penseur n’a pas inventé la brouette, quoique le bruit en ait souvent couru, mais bien perfectionné seulement la « vinaigrette a, laquelle n’est pas seulement une sauce mais une voiture à deux roues, sorte d’occidental pousse-aussi pousse. Nos décorateurs s’appesantissent peut-être un peu trop sur les meubles de fer rond forgé et peint dont les sièges sont faits de tôle perforée et s’ornent d’arceaux et de festons de fer, coûteux et inutiles. Mais c’est un sacrifice u la mode, férue aujourd’hui de style Napoléon III ou Jules Grévy et, pour ce, il convient de l’accepter sans protestations inutiles. 49