DESSINÉ PAR LES ARTISTES AU DERNIER GOÛT DU JOUR de réception, le papier peint devait voir ses tendances artis-tiques dirigées par les maitres de l’art présent. Nous écrivions, il y a cinq ans, au moment où la libération permettait s nos industries d’effectuer leur reprise sur un plan nouveau è C’est bien à tort que le papier peint est tenu pour un matériau pauvre. Ce n’est pas parce que son prix de revient est modique que sa matière ne peut être riche. Il n’est plus belle peinture que celle qui se fait à la colle.., et je songe à l’éclat qui rejailli-rait sur la production tout entière du papier peint si l’on voyait paraître, patronnée par les industriels, une collection où se trouveraient réunis des modèles signés d’artistes choisis parmi les plus célèbres d’aujourd’hui, les Bonnard, Derain Braque, Matisse, Rouault… Le décorateur ne pourrait plus, avoir alors aucun scrupule à conseiller ce matériau de préfé-rence a tout autre. » Et au sujet de ces « grands décors » dont Chapelain-Midy, Despierre, Brianchon, Guignebert et Potier nous donnent d’exemplaires adaptations à l’art d’aujourd’hui, nous disions encore « Et je pense combien, avec le retour des ssus. une amusante presentation de Damiot pour un P.I.., ..nt dlrêne Mite par rollot. Le lecher de ballons, altractmn nécessaire des /Mes pta,nes (environ 1880), s’accom-mode à mervedle de cette spirituelle farea,ie g, fast voisiner le prenadler passe-boules avec la sméne à tête de lion des carrousels forains. le here d’Imags des petites fines de la Comtesse de Ségur née Rostopchine et le breack•phaMon. un des maslleurs lerroswars It »e’r’nan ll Cdbert mam aussi les meubles de fer present, devant cette temure pureté an dessin de ce Pela.’ PeMt, son se, arcMtecmral. la façon heureuse et digne dont il s’accorde avec la rudesse Ms fer. la rareté de ses couleurs. gris, blanc et or. en font un ouvrage exemplaire. Co papier peint a été Mite par Samtex. 23