C’est un bien amusant décor que Suzanne Fontana créé ici pour eresenter ce papier peint àreuilles de tréfle.Des amours de staff vernisse demandent l’aumône au pied du lit de la mune Me e■ le mn chante derriêre les barreaux de la boite à musique. A gnso . beau revelemem mural de Lincrusta. été atteint mais il se trouve même dès maintenant pratiquement dépassé. L’industrie du papier peint ayant fait un réel effort de relè-vement, il lui reste à ne pas retomber dans l’état où elle s’était trouvée il y a quelques années du fait de ses propres tendances. Il ne suffit pas en effet de produire un papier peint quelconque et de le vendre grâce à quelques conditions démagogiques pour régler la question qui est industriellement posée. En procé-dant ainsi, les fabricants, les commerçants et les utilisateurs se feraient le plus grand tort en provoquant d’eux-mêmes une contre-propagande qu’aucun courant ne pourrait plus ren-verser. ‘ Il est essentiel de bien considérer que le papier peint n’est pas un article industriel quelconque mais bien une véritable édition comportant un caractère artistique. C’est cette qualité première et essentielle qu’il convient d’abord de lui donner conformément d’ailleurs a sa propre tradition, hélas bien oubliée au début de ce siècle. C’est seulement en travaillant dans ce sens que l’industrie du papier peint aura sa raison d’être. Il lui reste à mériter dans les mois et les années qui vont venir la plus difficile des victoires, celle qu’elle devra rempor-ter sur elle-même pour gagner et maintenir sa place parmi les industries d’Art. Henri FOLLOT.