Brantérne présentait ce fond de salon où une cheminée de marbre blanc sencadre de deux colonnes à cannelures aimes. blanches meulais dores. L’eclanage est prevu dans reniablement dont la saillie entre les colonnes com-porte une plaque de glace. Le mur est recouvert Sun reps vert. Un paravent peint d•ornements à la Serein orne les angles. Lieue fauteuils magnifiques, LE PASSÉ AN S LE PRÉSENT ,,ix chaque année, des décorateurs antiquaires nous r roposent des ensembles où ils tentent d’adapter lz vie d’aujourd’hui des meubles et des objets anciens. Il est assez étonnant d ‘observer que, sans que ces dettat, ateurs se soient concertés au préalable, plusieurs d’est, e eux recherchent les mémes effets et parviennent à donner a l’ensemble de leur présentation, nonobstant les époques trai-tées, une homogénéité incontestable. Avant la guerre, le caractère de ces présentations était déterminé par l’emploi généralisé des tissus clairs, singulierement des .damas blancs. Aujourd’hui ce sont les satins qui dominent. GriS. lilas ou chair. Ils accompagnent de merveilleuses boiseries, comme cet ensemble de Jansen qui présente l’étonnant boudoir du Cardinal de Rohan, ambassadeur de France à Vienne, et où Marie-Antoinette, fiancée de ce dauphin qui devait titre Louis XVI, fut reçue ; ici, des satins lilas miroitent dans des 27
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