Méfions-nous pour santé de nos yeux. de., éclairages insuffisant, Orientez toujours la lumière de telle manière qu’elle &s’aire ce que vous regardez .ans tomber dans vos peur. Pour les travaux fin comme la couture ou le dessin, l’intensité de l’éclairement sera comprise entre 80 et 120 Lux. 40 peut mesurer les éclairements comme on mesure les températures. Il vous est arrivé de regarder le thermomètre pour vérifier le nombre de « degrés » qu’il y avait dans votre bureau. Mais avez-vous jamais vérifié le nombre de « Lux » que donnait votre éclairage. Et pourtant, de même qu’il existe des « thermomètres », il existe des « lux-mètres », d’un emploi aussi simple et qu’il serait bien plus utile d’avoir chez soi que le baromètre style Henri 11 ou la grenouille dans son bocal. A titre d’indication, rappe-lons que des éclairements inférieurs à 40 Lux ne doivent être utilisés que pour la circulation. Pour des travaux manuels ordi-naires ou pour la lecture, l’éclairement doit être compris entre 40 et 80 Lux. Pour des travaux fins, comme la couture et le dessin, on se tiendra entre 80 et 120 Lux. Si nous notons que les éclairements four-nis par le soleil dans la campagne sont de l’ordre de 80.000 à 100.000 Lux, nous constaterons que les chiffres indiqués pour l’éclairage artificiel n’ont rien d’excessif. Un autre genre de fatigue oculaire est causé par l’éblouissement d’une source de lumière trop vive. Les lampes électriques actuelles sont trop brillantes pour être pla-cées dans le champ de vision, sans que leur lumière soit tamisée par un diffuseur en verre opale ou par un réflecteur en verre argenté qui envoie la lumière au plafond. Éloignez de votre vue les points lumineux trop éclatants, orientez toujours la lumière de manière qu’elle tombe sur ce que vous regardez et non dans vos yeux; mieux encore, utilisez l’éclairage indirect, dont la faveur actuelle n’est qu’une conséquence du bien-être qu’il procure à nos yeux.