A droite, une cheminée dont l’aspect monu-mental est grandiose. Elle est cependant fort peu coûteuse. Les co-lonnes et l’entablement creux qui comporte l’éclairage sont en staff. te rétrécissement est en staff durci, la brique plate est employée seu-lement pour le foyer. e A gauche, un bâti, re-couvert de contrepla-qué peint poché, forme comme une énorme dalle au-dessus du foyer triangulaire et constitué de briques plates. A droite et à gauche, deux longues commodes surmontées par une tablette d’ébé-nisterie ou de bois peint. A gauche, une formule bien nouvelle et par-faitement logique de la cheminée saillante. Deux meubles à coins arrondis pouvant servir de bahut sont revêtus de briques formant foyer. Une simple dalle de pierre posée sur les outre-coeur. surmon-tée d’une haute glace. liorant eût pu apporter. Mais il y avait la routine. Une cheminée  » se faisait  » ainsi, avec « jambages », linteau « , tablette » et  » contre-coeur  » car, pour affirmer et confir-mer les bêtises, il apparaît toujours expé-dient de créer un jargon cela donne de l’importance aux initiés- et dispense de réfléchir. Personne n’avait remarqué que  » ébrasement  » de porcelaine ne servait à rien. Personne ne songeait à discuter cette tradition. Nous n’avons cependant pas encore envi-sagé la question du point devuedu chauffage… ce qui est le point de départ véritable de toute étude rationnelle du sujet. mais seule-ment du point de vue de l’aspect, du décor. Le titre de ce journal nous y autorisait… peut-être. 31