Ce studio de Mme Klotz présente une fort originale disposition de papier peint collé sur un plafond retombée courbe en staff. Les meubles, d’un ton clair si cha-toyant, sont en avodiré moiré. Voici, de Maurice Dufrène, une chambre d’enfant en bois mal-léable. Elle est revêtue d’un papier peint dessiné par Mlle M. Th. Vautrai n. Vitrages de pongée avec bouillonnés de trois tons. Voici, de René Gabriel, unen-semble auquel un papier peint à grand décor composé de six lés donne un fond aimablement rural. A cause de ses tons pâles. il suggère plus qu’il ne décrit. soit. Pour y adjoindre de la variété, les fabri_ cants de peinture imaginent des pochés d’imi-tation de pierre, des imitations de torchis qui, durant un temps et malgré leur prix élevé firent fureur. Mais cela n’enlevait rien, au con-traire, à la vulgarité du matériau. Si le papier peint connaît aujourd’hui la renaissance qu’on peut observer, il le doit à la qualité du matériau qui le recouvre, la peinture à la colle. La mer-veilleuse matité, la fraîcheur des tons qu’elle permet d’obtenir, leur profondeur aussi, la rendent sans conteste inégalable. On a reproché au papier peint la division en lés qui rend impos-sible les grandes surfaces sans qu’on y aperçoive des joints. C’est au contraire cette division qui rend le matériau pratique, facile à employer ; cette qualité apparaît immédiatement à l’esprit quand on devine les joints sur une grande