sans modifications deson volume, il est certain que les industriels du papier peint. ne pou-vaient continuer à accumuler comme en 1925 les tons violents, les rapports de couleurs vives, les dessins obsédants. La Chambre syndicale des papiers peints et la Société des Décorateurs ont sans aucun doute l’une comme l’autre, le plus grand intérêt à vivre en fort bonne intelligence et la Société d’encouragement à l’Art et à l’Industrie a eu raison de donner sa plaquette d’honneur à l’exposition de la Chambre Syndicale aux Artistes Décorateurs. A notre avis le merveilleux matériau qu’est le papier peint se doit de redevenir, comme il le fut dans le passé, une des manifestations les plus raffinées, les plus intéressantes de l’art de notre époque. La liaison qui s’établit enfin et sous d’aussi heureux auspices, entre les artistes et les industriels, ne peut porter que de bons fruits. D’ores et déjà l’on peut affirmer que le papier peint a reconquis et agrandira sans cesse sa place parmi les plus belles industries d’art de notre pays. Ce stand esb présenté par la Compagnie Lin-crusta-Loréid. Tentures Deilor dessinées par Rernillier. Meubles de Michel Dufet, édités par Le Bûcheron. Table en noyer (350 fr.). Le stand de la Société Paul Gruin présente des papiers dessinés par Tourasse (au milieu) et Lucien Thomas (à gauche et à droite). Meubles de Michel Du-fet édités par Le Bûche-ron. Chaise de frêne garnie de toile laquée noire(475fr.).cornrnocle en glaces (2.200 fr.). Ci-dessous à droite les papiers peints de la Société Grantil. Ces trois modèles ont été dessinés par M. Fres-smet. Un bahut glaces (1.700 (1.700 fr.) fauteuil garni satin. d. M-chc’ Dufet.éd,e,