La Société Follet expose ces trois papiers, dont les deux de droite ont été dessinés par Paul Follot en collaboration avec Max Beucher. Ce-lui de gauche est de Mme Denise Louvet. Les meubles sont de Michel Dufet, édités par Le Bûcheron: tablepalis-sandre et glace.(850fr.). Ci-dessous, la Société Française de Papiers Peints présente les œu-vres de Mme Mollen-hauer (à g. et au milieu) et de Mme Marcelle Thiénot, à dr. Table d’érable (BSOfr.)et fau-teuil 1.3 7Sfr.)deDufet, Cinquante ans après, la sereine, la majes-tueuse leçon de Puvis de Chavannes, porte ses fruits. A vrai dire, l’industrie du papier peint est celle qui est le plus immédiatement en rap-port avec le mauvais goût du public. Et il est si facile de penser que ce mauvais goût durera toujours, qu’il ne se modifiera point, que vingt ans durant il exigera les mêmes outrances qu’en 1925. A penser ainsi, bien des métiers ont périclité, voire disparu. Tout ce qui s’adresse au goût du public doit être en perpétuel devenir; aucune stabilité n’y peut être certaine. Dès qu’une industrie de cet ordre croit. ayant tracé une ornière, pouvoir y rester, la mort est proche. L’effort doit être constant et, dans cette branche plus que dans toute autre, le chef de maison doit se tenir en rapport constant avec ceux qui, près de l’élite, dirigent le goût du public. Devant l’attrait qu’ont les architectes créateurs pour les surfaces simples. pour le mur bien à sa place, sans trous, sans ombres, La Compagnie Lincrus-ta-Loréid a garni ce stand de tentures Lin-crusta de M. Remillier. Meubles de M. Dufet, (Le Bûcheron) : Chaise (325 fr.). Petite -table en oyeretérable.(8 SOfr.).