L. BAKST — CHLOÉ ABANDONNÉE (COUAC.) L’ART DtCORATUE pan 1, pal.. Nouveaux propos sur les Décors L. BAKST COSTUME POUR tt LE SCEPTRE DE LA ROSE ». (RÔLE DE M. NUINSKY) (AQUARELLE) IL y a un an, ici dans un précédent article, la série des dessins et même, à propos des aquarelles qui ont servi de maquettes aux des représentations spectacles russes, et c’est là en quelque façon le des ballets russes à corollaire contemporain des turqueries du xviiC l’Opéra, j’avais l’oc- siècle, avec cette différence que Léon Bakst n’est casion de parler des pas, comme Leprince, Lancret ou tant d’autres, un principes qui inspi- Turc de Paris, mais un Russe de la Russie. Le raient leurs décors et succés cependant qui l’a accueilli à Paris, au moins de louer comme il dans un certain public qui, sans être tout à fait le convient l’artiste qui centre du monde, comme l’affirmait avec comptai-avait affirmé ces sauce un couturier fameux, du moins en est… le principes avec le plus nombril, prouve que les Parisiens de 1911 sont d’éclat, Léon Bakst. aussi curieux du grand eunuque de Scheherazade Voici que Léon que ceux de la Régence pouvaient l’être du Rica Bakst, en manière des Lettres persanes. Nous avons revu avec plaisir d’anniversaire, es- les costumes et les décors de Scheherazade, de pose au Musée des Cléopâtre, de l’Oiseau de Feu, auxquels sont venus Arts décoratifs, à côté s’ajouter, pour notre édification, ceux du Martyre des Turqueries dont de saint Sébastien, du Spectre de la Rose, de j’ai rendu compte Narcisse, dont nous avons eu la primeur cette 279