Echos de la Mode LEZU7léscairelnisttecenotnrat centralisé tbaelaeunctosuspurdne’ismup`ocrèt% quelle branche de la médecine associée à lacoquet-terie. Ils promettent d’adorables résultats, le retour à la jeunesse, la durée perpétuelle de la beauté, de la gràce, du charme, tous les dons qui étaient jadis le privilège des bonnes fées, et ces engagements sou-vent véridiques, car la science a fait du chemin, forment une des grandes joies féminines. Parmi ces spécialistes consolants, les plus occupés en ce moment, sont ceux qui se chargent d’amincir les personnes trop dodues, douées de ces contours que nos aïeux trouvaient agréables, mais dont per-sonne ne veut plus parce qu’ils gênent pour entrer et tenir dans des robes qui rappellent comme coupe, comme largeur, comme joliesse, les sarraus noirs des Annamites. Une fois entrée là-dedans, boutonnée par force, il reste juste la possibilité de mettre un pied devant l’autre, sans se presser, par exemple, pour éviter les catastrophes. On nous diminue avec fureur, les plus coquettes sont les plus rabotées, il ne reste rien, mais rien de rien de ce qui fit la séduction d’un joli corps de fille d’Eve. Nous sommes toutes taillées comme des gar-çons, c’est logique, n’est-ce pas?… et d’un gracieux! Naturellement, les corsets en usage avec ce style aplatissant tiennent beaucoup plus de l’instrument de torture que d’un objet de toilette. Baleinés à outrance, sanglés, bouclés, descendant jusqu’aux genoux, ils interdisent de s’asseoir, font de chaque femme une remplaçante du Juif Errant, condamnée â toujours marcher et à se reposer en se tenant sans doute sur un pied, comme les échassiers. Dernièrement, à un diner très paré, ma proche voi-sine m’a bien attristée quand il lui a fallu prendre place sur sa chaise. Cruel travail! quelle peine pour arriver à s’installer tout de guingois, le buste raide, les reins et le ventre écrasés, les jambes étendues faute de savoir cent les replier !.. Ah ! si elle s’emprisonne ainsiomm dans le même esprit de sacrifice que d’autres portent un cilice, c’est bien édifiant et ça lui rachètera pas mal de siècles de purgatoire. La mode des encolures basses, si basses qu’elles découvrent la naissance du cou, s’est prolongée durant l’hiver au détriment de l’élégance et de la santé, car il n’est pas gracieux, quand s’entrouve le lourd man-teau, de voir ce corsage nettement coupé, formant une sèche ligne sur la peau; puis, surtout, c’est dan-gereux. On ne saurait énumérer les maux de gorge et de dents que cette fantaisie a causés et ils seraient encore bien plus nombreux si nous ne donnions de la force à nos dents en les soignant avec les produits Dentifrices des Bénédictins du Mont-Majella. Ils sont au nombre de trois, un nombre sacré, et ont le même mérite. L’Elixir vaut 3 francs, la Pâte, francs, la Poudre, s fr. 75 et o fr. 5o en sus franco, chez M. l’Administrateur Senet, 35, rue 44-Septembre. Ce 14 VSANTIeNIE. Lydie B… — Loin d’être un fard, le véritable • Eau de Nions u répare les dommages trop souvent causés par ce genre de cosmétiques, elle rafraichit beaucoup le teint. Spécialité de la Parfumerie exotique, 35, rue du 4-Septembre, elle vent 6 francs et 6 fr. 5o franco. m’Axes ,j an v �LtAnos LA neGL“vef Aun4A.r.vr NATURrl •P4-1-9éP1-14-14-4•11-4-4-41.4* TÉLÉPHONE 238.61 J. FÉRAL TÉLÉPHONE 238.61 EXPE7U- E7V TABLEAUX PARIS ft 7, Rue Saint-Georges, 7 0 PARIS