Echos de la Mode .A terre se refroidit, tt certain, tous les savants nous l’affirment e,, beaucoup plus sûrement, hélas! toutes les saisons détraquées nous le prouvent. Hiver malsain, printemps problématique, été dou-teux automne humide, voilà à peu près le bilan des années courantes, et l’on ne tonnait plus que par la légende les fourrures à la Toussaint et les pantalons de nankin à Pàques. Donc, on a moins chaud, et jamais on n’a porté de linge pis léger, plus transparent, plus impalpable. Les chemises sont une illusion ; les pantalons, un brouillard, et les jupons, une chimère, on n’entend parler que de jaconas, de linon, de mousseline et quand, dans un magasin chic, on ose demander du linge digne de ce nom vénérable, du linge qui soit de l’authentique percale ou de la toile sincère, il faut voir de quel air dédaigneux on sert la cliente assez « rococo a pour porter ces choses désuètes… O linge de nos aïeules, honnêtes broderies, solides dentelles, que devez-vous penser des chiffons qui vous suc-cèdent, en imitation d’imitation, en absolu simili ? Dire que les plus fières beautés citées dans l’his-toire portaient de braves chemises ayant des manches demi-longues, doublaient leurs robes splendides de grosse toile écrue et avaient pour dessous sugges-tifs d’épais cotillons !… Cependant, il faisait plus chaud qu’a. présent, s’il faut en croire la tradition. On va m’objecter que, sous le Directoire, on s’ha-billait de rien, par tous les temps, et que nous sommes revenus à ces modes succinctes. D’accord, mais la fantaisie du pseudo-linge sévit depuis déjà longtemps, alors qu’on portait encore des robes ne ressemblant pas à des fourreaux de parapluie, et elle a coûté en fanfreluches fragiles dm fois plus que n’auraient coûté de beaux et durables trousseaux. C’est un des vices de l’époque, les jeunes filles, les jeunes femmes et inertie les vieilles, hélas ! en sont atteintes, ne connaissent plus que le superflu et ignorent le nécessaire. En attendant que nous revenions à des idées plus justes en fait de linge, restons au moins fidèles aux bons produits connus, appréciés, quand il s’agit des soins de toilette. Pour cela, il serait grave d’adopter au hasard n’importe quelle nouveauté pourvue d’un nom à fracas, notre beauté pourrait s’en ressentir, tandis que, en nous bornant, par exemple, à la véri-table Eau de sinon, nous serons sûres de conserver à notre épiderme toute sa juvénile fraicheur. Cette lotion nettoie, adoucit, blanchit la peau, fait dispa-raître toutes les petites- tares qui désolent les coquettes. Elle vaut 6 francs et 6 fr. so franco, à la parfumerie Milton, 31, rue du 4-Septembre. CHRYSANTHÈME. Princesse blonde. — Oui, la Pût, des Prélats est un des meilleurs cosmétiques pour l’entretien des mains. Son usage prévient les gerçures, les engelures, assouplit les articula-tions et veloute la peau. Demandes ce produit I la parfume-rie Exotique, 55, rue du 4-Septembre. Prix 5 francs et 5 fr. 5o franco. Aimant le nouveau. — Méfiez-vous des talons trop hauts et trop pointus, ils sont disgracieux toujours et souvent dan. gereux. ADULTES VIEILLARDS LA nIrILI,JAE EAU PLeADATIvr vlAgei;ej,r,UW,Wr, • • MM@MMOIMMM LARBAUD-ST-YORRE La plus dosée es Acide carbonique libre de toutes eaux du BASSIN OR …., VICHY … Ittaletliee La plus holà a du FOIE 10. duREINdle1, ee. ESTORIAC✓ IU DIABÈTE ■ Ne,; et l’ALBUSIINURŒ es, « ‘d * S t Ad t id t, tteytA’ …e.remen…Lze ,,•…, s. Pherrnacieu et bone Restaurante. ‘,.;Ti* Refwer toutes . Contrefaçon. Gwoe …. … »..LTAT..,.. LARBAUD-S.-TORRE, A VICHY. M@@@Mffl g g@ LuctuEUR. weL__BENÉDICTINE