LA PEIN’l I 12E FRANÇAISE un FRANÇOIS BOUCHER — ce REPOS DES FERMIERS à Rome en 17501. prati-cien habile, esprit inven-tif. dont la facilité abondante et élégante charme ses contempo-rains. 11 était fils du por-traitiste François de Troy. qui fut directeur de l’Académie. Agréé de l’Académie à peine àgé de vingt-sept ans, il reçut nombre ‘de com-mandes de décorations ou mème de tableaux de chevalet, petit genre dans lequel il se plut avec quelque bonheur. Il décora les apparte-ments du banquier Sa-muel Bernard et ceux de M. de la Live, la crypte et le tableau d’autel de la chapelle seigneuriale de Poissy et diverses autres décorations pour des églises ou des chi. teaux. Il fut nommé directeur de l’Académie Wallace. FR. NÇOIS ROUGI IER Ol ISE OE POMPADOUR 147 Henri Re Rot eh.. de France à Rome en 738, obtint le cordon de l’ordre de Saint-Michel et fut élu à Rome prince de l’Académie de Saint-Luc. On lui doit la belle suite connue des sept tapisseries de l’H i s-loi re d’Esther. On trouve de lui des ta-bleaux d’histoire et des portraits au Louvre Premier Chapitre de tOrdredu Saint-Esprit lents par Henri /V. aux musées de Besan-çon. de Montpellier. de Nimes. de Nancy. de Rouen et d’Orléans. De Troy eut un bril-lant rival dans le peintre François Le Moine. Celui-ci reste comme un des derniers décora-teurs à grande enver-gure du temps. On garde de lui, au Louvre,