mettre il y restait non pas l’essentiel, niais le plus léger. le plus insaisissa-ble. Impressionnistes dans le sens le plus exact du mot, ses paysages ne semblaient faits que de lumière répandue sur une construction presque invi-sible, allusions plutôt qu’indications. efflores-cences plus encore que bouquets… Puis, il se tut, quelques années. Des scrupules lui étaient venus. On parlait trop autour de lei d’arma-ture. de solidité, de synthèse. Il se demanda s’il avait le droit de sous-entendre des éléments aussi essentiels, et malgré que ses préoccupations fussent contradictoires à ses dons personnels, il se les imposaquelquetemps. forçant sadiscipline natu relie. Quelques toiles, évoquant par leur sommaire simplification cézannien ne l’apparence souvent de vitraux, restent comme des témoignages de cette hésitation, de ce trouble. Personnellement, je fus de ceux qui regrettaient cet oubli volontaire de qualités plus féminines. Et je ne cache pas le peu de sympathie que j’éprouvais pour les œuvres dures et tendues de ce moment de transition. Fort heureusement, l’influence de la nature tut ici, comme toujours. bienfaisante. A l’éprouver LE MOIS ARTISTIQUE Ph. Pixremonc PIERRE.-GASTON RIGAUD — sot.en. ter SOIR MEMENTO DE ,Musée — Exposition générale d’art appliqué. Musée Cernuschi.— Exposition d’art japonais. Automobile-Club de France, 6, place de la Concorde. —Exposition de peinture, sculpture et arts précieux. Grand Palais des Champs-Elyxées. — 31. Salon des Femmes peintres et sculpteurs. International Art Gallery, 1, rue de Berri. — Exposition du Groupe libre. Galerie Weill, 25. rue riclor-Massé. — Exposition JEAN Bi am a. a.S. rue Mathurin-Régnier. — Exposition rétrospectiie des rouvres d’ALPHONSE CORNU, Che, Arthur Toolh and sons, 41, boul. des Capucines. .— Exposition Loris Csmf. Cercle Volney. — Exposition d’aquarelles, dessins et gravums. chaque jour, dans le pays de Elle de France où il se retirait une partie de l’année, il se lit en M. Robert Mortier un tra-vail à demi-inconscient dont le résultat fut la conciliation harmonieuse de ses facultés primitives et de celles qu’il avait acquises. Lorsqu’il se remit au travail, pour peindre les paysages qu’il avait sous les yeux, il n’avait perdu ni la délica-tesse de sa vision, ni son charme d’exécution, mais il y avait ajouté une soli-dité nouvelle. Ses ciels sont toujours subtils, niais ils se développent sur un sol bien établi, dont on sent la masse et la matière. Sa lumière est toujours observée avec justesse et d’effet rare. mais elle se joue sur des surfaces cette fois nette-ment délimitées, placées dans leurs perspectives rationnelles arbres, plis de terrain, maisons. etc. Tout se tient et s’équilibre sans heurts, la page se entrepose de la manière la plus satisfaisante. Devant ces récentes toiles, sincères, agréables et parfois émouvantes, on éprouve cette sorte de plaisir particulier que nous ressentons devant tout artiste dont la maturité a su ne rien renier des promesses délicates de sa jeunesse. F. M. S EXPOSITIONS 43 Che: Maurice Grün. 4, faubourg. du Temple. —Exposition d’atelier. Lyciftint-ChiG. — Exposition de peinture, sculpture et art dEcoratif. Galerie Matute Exposition Chars,. Bot n.i.t  » Au Pays Breton « . Galerie Richelieu. — Exposition BRAQUAVAI., MAILLADD, REMOND. P. DE GANT., etc. 4 la Gare P. L. M., 20, boulevard Diderot. — Exposition des Chemins de fer. Villa des Arts, 1,5, rotelLigaippe-Moreatt.— Exposition V.ixotira Dior et BADAUDE. Galerie Marcel liernheitn. rue Caumartin. — Exposition des peintures de BERNARD DE Ali PAL, et des sculptures de Rn MONO Ci NTHERT.