L’INDE PAR M. ALBERT I3ESNARD ,F.S 17.01S 10.11, ( .11L,’ENIENT 1,141.1,I•) nelle et fatale clarté. et dont le fatalisme hautain s’alliait à« l’insensibilité de l’azur et des pierres. La difficulté de comprendre ces créatures dont l’unique espoir est la certitude du néant surpassait pour lui toutes les difficultés matérielles, si sérieuses pourtant la quasi-impossibilité de s’isoler dans une multitude curieuse, obsti-nément attachée aux pas de l’artiste. empêchant par sa présence même de reproduire aisé-ment le spectacle qu’elle est les défiances, les interdictions rituelles, l’invisibilité des femmes dans l’Inde du Nord; l’éblouissant désarroi de