L’ART ET LES ARTISTES rem. JEUNE FILLE DE. VOLENDANI découvert qu’en pré-sence d’un clief-d’oct, vre on subit son ascen-dant sans discerner, sans chercher même, souvent, – à part quel-ques abstracteurs de quintessence qui sont les critiques ou les ar-tistes eux-mêmes, — savoir a comment c’est fait s. Maître de sa techni-que, qu’il s’agisse d’a-quarelle, d’huile, de pastel, ou d’une simple étude au crayon noir; fort de pouvoir à son gré l’assouplir, la plier aux nécessités diverses, l’adapter aux successifs sujets qui se présente-ront à lui, à la grâce ou à l’énergie du modèle campé devant ses yeux, dés qu’il en aura péné-tré le caractère, la me-Phot. r, LA NIARQUISE D’ANGLESEY RU Y SSENA ERS 216 présentation de vagues humanités ne va plus, désormais, suffire à son ambition. L’idéaliste qu’il n’a jamais cessé d’être, l’amoureux d’Isolde et des e Prin-cesses lointaines e, des créations éthérées de la poésie et le véridique portraitiste des Deux anciens, le peintre des âmes surhumaines et celui des corps sans âme unis harmonieu-sement en lui, il est mûr pour réaliser le rève ales plus hautains d’entre ses devanciers. lit c’est alors qu’il crée ces portraits d’une si pure spiritualité, d’une vie intérieure si pro-fonde, ces effigies si émouvantes que la mé-moire, après qu’on les a vues, vous en hante