L’ART DÉCORATIF peut-être son chef-d’oeuvre. A l’origine, Rivière, d’accord avec M. E. Verneau, avait projeté cette oeuvre pour la décoration des murs des écoles, à l’imitation des images publiées en Angleterre par la Fitzroy-Society. Mais — il est regrettable de le dire — les démarches faites auprès des administrations publiques pour obtener leur con-cours n’eurent pas le résultat espéré; c’est alors au public que les feuilles des ,