L’ART DÉCORATIF r.„,..,„… ,„,.., _.,„….,.., „……..,. .,……,,…,,….,..,.„ ‘-redreete, n f ..,,.,—„,.,_ ..,..,,y,,,ir;; ..,,;; e lb (1 C’;’•—- » V- ‘ …- ,,-«,,,–y,%  »;» –,–e–`Se’1″ie7″:-.,..– 4,-7;.-55 ,,, 1 1 .„….5, :14 ) A.,:,…..—r.-_- – -a- et …. _ __ _ ,… 1 ……._.,-,..,…..- …„,,, Ne-.7741 encore du tracé italien, inspiré des archi-tectures d’antan, des acanthes et des scoties. Les artistes récents, attelés à la transcrip- ) ser /` r1W <, r Are ni inn Ree,:tremesee,-- te de 4 nt" N. FEYEN-PERRIN lion de la plante et à son utilisation, devaient y conduire les précieux entrelacs. Il en est ainsi. Le point Colbert est au-jourd'hui le plus apte à traduire la com-position florale dans un thème d'usage, et l'absence de réseau en fait un tissu très robuste, tout en demeurant très clair. Le Comité des Dames demandait donc un dessin de genre Colbert, composé d'un volant avec coin, d'un entre-deux, et pou-%lora i■u? B