LA MAISON OUVRIÈRE Exposition d’économie sociale et d’hygiène, d’appliquer ici certaines de mes idées, et de décorer et meubler à bon marché la maison ouvrière. Il mit tant de grâce à cette invitation que je ne pus décliner l’honneur AU GRAND PALAIS revêtit de peintures à l’huile, de coloration claire, mais différente, selon les fonctions des pièces ; et lui et M., Gautier les déco-rèrent de ces frises au pochoir, simples, charmantes, dont j’ai parlé. E. BLtAULT, ArchitEcre qui m’était fait et je m’adressai pour la dé-coration de la maison à l’excellent artiste qu’est M. Aubert et puisque nous étions, parait-il, dans le Palais de la femme (un mot excessif) à M., Marie Gautier dont on connaît le talent très délicat, très rare. M. Aubert, Gautier et moi-même ne devions être du reste que les collaborateurs de M. ldliault. Il fallait que toutes les parois intérieures fussent lavables : M. Aubert les Si dans la chambre des jeunes filles la frise d’Aubert, vraiment exquise, était des cou-ronnes de marguerites blanches, dans celle des garçons, c’étaient, encadrées de dessins géo-métriques, des devises morales : » Va droit, Sois probe, Sois brave s. A la coloration des parois, constituant la dominante, devait ré-pondre celle des rideaux, des dessus du lit, des tapis lavables eux-mêmes, que nous n’avons pas eus. r 63