portrait décoratif(Ma-dame S… et son fils), au dernier Salon), plein-air interprété qui n’admet ni la conven-tion romantique de l’école anglaise ni l’a-veuglante crudité du naturalisme. Ce qui persiste, immuable c’est le culte de la famille. Ce peintre, qui rêve un grand plein-air fa-milial et symbolique, associant la vieillesse et l’enfance dans la maison de Beaugency, donnerait des re-mords aux plus in-vétérés misanthropes: aimer étant la vraie façon de comprendre, — avant l’heure de la mode et du sno-bisme, il a choisi l’intimité. Chardin pré- vrai que l’art le plus voisin de la vie n’est curseur ne semblait-il pas exceptionnel qu’un idéal ! dans le vertige de son siècle? Tant il est Portraits (photographie Creesus) RAYMOND BOI’VER. M. et H. Morisset Couverture de livre tbroderte