L’ART DÉCORATIF serez émerveillé de voir combien M. Robert fidélité il en a traduit la souplesse de corn-s’est laissé pénéirer de l’idée, de la position. :Jr tt..,t—ilrueTnaligele ‘-•rozeur. •roi ‘4 à nom otionuom noms 1114111 Sibiu GEORGES PRADELLE Détail de façade, rue d’Orléans, à Neuilly lonté du concepteur, combien il se les tentifs à sa baguette qui doit est assimilées et avec quelle intelligente le ton et la mesure. 118 Ce sont là qualités qu’il est excessivement précieux de ren-contrer chez un exécutant et l’ar-chitecte lui en sait infiniment de gré. Comme le compositeur de musique écri-vaut un opéra, l’architecte ne fait, en la des-sinant, qu’écrire son ceuvre,qu’ex-primer sa pensée aussi nettement qu’il lui est pos-sible de le faire. Il ne peut l’exé-cuter lui-même. Aussi bien que l’interprétation d’uneoeuvre mu-sicaledépend des exécutants, qui en se pénétrant bien de l’esprit de la partition en font valoir la couleur et le caractère, celle d’une oeuvre ar-chitecturale dé-pend de la fidèle traduction que l’entrepreneur, l’ouvrier, cha-cun suivant ses moyens et ses facultés appor-tent à sa réalisa-tion. Il importe donc que l’ar-chitecte les choi• sisse habiles, in-telligents, fidèles interprètes, at-toujours donner